Oustaz Modou Fall interpelle Sokhna Aïda Diallo lors d’une cérémonie

Lors de la cérémonie de célébration du 17 avril, Oustaz Modou Fall s’est exprimé directement à l’adresse de Sokhna Aïda Diallo. Dans un discours alliant fermeté et spiritualité, il a réagi aux controverses entourant ses apparitions publiques et ses pratiques religieuses.
Il a affirmé : « Chaque jour, malay geuneu beugeu, té kén meunoul yaheu sougnou diganté… ». Ces paroles, prononcées sur un ton déterminé, soulignent la complexité des échanges au sein de la communauté croyante.
Cette discussion a été rapportée par nos confrères de Kawtef qui ont suivi attentivement l’événement.
Depuis longtemps moi je lui ai oté le titre de ouztas car ,en publiant souvent SA vie privee et conjugale sur les reseaux sociaux,avec des epouses qui portent des perruques,charité bien ordonnee commence par soi meme,etre tjrs devant la scene ba quemander c est une bassesse pour quelqu un qui se dit etre precheur
Macha’Allah la seule KHALIF qui mérite vraiment ce titre au senegalais elle est toujours généreuse avec ces milliers de talibes n’en déplaise aux abrutis.
Momo fall,Lou yombou lay weur ,masouma guis talibe’ cheikh bou melni,man nak mouride la, mais thidiane yi damalenna naw thi sen foulla
Dans ce pays il ya beaucoup de gens qui ne méritent pas d’être appeler oustas ils profitent de la religion pour se faire des sous. Mais Dieu c tout
Quand Macky et marème étaient là, Modou fall n’a jamais assisté aux thiant. Modou fall à transhumè comme certains politiciens.
C’est juste un opportuniste, un lèche cul un parasite ce Modou Fall, Marieme Faye Sall n’est plus là, il fallait qu’il se trouve une autre « vache 🐄 à lait »
Je suis désolé MODOU FALL,car je me garderai de t’appeler OUSTAS.Cette Dame lii mouy def dou diné,dafay sabarou té kou fa tew yalla reubeu nalla.
Sokhna Aida dé bakh la def nékhoula bagne
Il est très intelligent ce Modou Fall il sait comment se faire de l’argent sans se fatiguer avec sa grande gueule
Pas intelligent mais malin. La différence est de taille. Dans malin, il y a mal …