L’actrice sénégalaise Oumy Mbaye, connue pour son rôle dans la série « Bété Bété », a révélé avoir été victime de violences conjugales. Dans un témoignage poignant partagé sur les réseaux sociaux, elle décrit des années de souffrance, marquées par des violences psychologiques et physiques. « J’ai été mariée deux fois au même homme, dans l’espoir d’un changement », confie-t-elle. Malgré ses efforts, la situation s’est aggravée, allant des manipulations et du maraboutage à des menaces de mort et des violences sexuelles. Oumy Mbaye affirme avoir supporté seule les charges du foyer, tandis que son mari, selon ses dires, se contentait de « mentir et de l’utiliser ». Elle évoque également un épisode d’intimidation impliquant des hommes cagoulés, qu’elle attribue à son ex-mari. Comme d’autres artistes sénégalaises qui ont témoigné de leur passé difficile, Oumy Mbaye a décidé de briser le silence. « Je n’ai plus peur », déclare-t-elle, affirmant choisir désormais « la paix, la dignité et la liberté ». Son témoignage a suscité une vague de soutien sur les réseaux sociaux, de nombreuses personnes saluant son courage. Elle lance un appel aux femmes victimes de violences, les encourageant à sortir de l’ombre. « L’humiliation, la manipulation et la violence peuvent se cacher derrière des apparences trompeuses », rappelle-t-elle. Des affaires judiciaires similaires ont déjà secoué le Sénégal, soulevant des questions sur les violences conjugales et les accusations parfois infondées.


« Je ne suis plus sa femme. Je ne veux plus qu’on me regarde comme si j’étais encore attachée à ce nom. Ce nom-là ne me définit pas. »
« Il utilisait son arme en me disant que si je le quittais, il allait se tuer… »
« Je suis tombée. Mais je me relève. Je suis triste. Mais je suis libre. Et je ne lui appartiens plus. »
« Vous méritez mieux. On mérite la paix. On mérite la vérité. Je suis libre. Et je choisis ma lumière. »
J’ai pas entendu la réaction de son mari mais je ne suis pas d’accord de frapper la femme si sa femme est mauvaise têtu tu doit laiser exemple divorce mais je ne suis pas d’accord de traîter la femme comme un esclave