Mort de Louis Ndong à Ngor : Les révélations de tailles du procureur de la République
Le Procureur de la République, dans un communique rendu public ce jeudi soir, est revenu sur les circonstances de la mort tragique de Louis Ndong à l’occasion des manifestations Ngor.
Dans le communique parvenu à Senego, renseigne que « la Brigade Territoriale de la Foire nous a informé, ce jour, de la mort du nommé Louis NDONG dont le corps est présentement à la morgue de l’hôpital Idrissa POUYE de Grand Yoff aux fins d’autopsie ».
Le Procureur informe l’opinion publique que « les premiers renseignements recueillis auprès du voisinage ont révélé que la victime était un ancien militaire qui avait pris service le jour même du drame, comme agent de sécurité à la société de gardiennage « FALCON SECURITY ». Elle avait quitté son poste de travail pour aller au chevet de son épouse, domiciliée à Yoff Tonghor, lorsqu’elle avait rencontré un groupe de manifestants qui l’avaient confondu, du fait de son accoutrement, à un élément infiltré de la gendarmerie ».
Le communique in extenso :
La Brigade Territoriale de la Foire nous a informé, ce jour, de la mort du nommé Louis NDONG dont le corps est présentement à la morgue de l’hôpital Idrissa POUYE de Grand Yoff aux fins d’autopsie.
Les premiers renseignements recueillis auprès du voisinage ont révélé que la victime était un ancien militaire qui avait pris service le jour même du drame, comme agent de sécurité à la société de gardiennage « FALCON SECURITY ». Elle avait quitté son poste de travail pour aller au chevet de son épouse, domiciliée à Yoff Tonghor, lorsqu’elle avait rencontré un groupe de manifestants qui l’avaient confondu, du fait de son accoutrement, à un élément infiltré de la gendarmerie.
C’est ainsi qu’ils se sont pris à lui en le battant à mort alors qu’il ne cessait de leur rappeler en vain qu’il n’était qu’un vigile et non un gendarme. L’enquête en cours diligentée par la Section des recherches en collaboration avec la brigade de gendarmerie de la Foire a permis l’interpellation de deux des présumés auteurs habitant au quartier TONGOR de Yoff.Les investigations se poursuivent et toute personne impliquée dans ces faits d’une extrême gravité qui ont coûté la vie à Louis NDONG, sera traquée et traduite devant la justice.
Ainsi, nous invitons toute personne qui aurait eu des informations sur l’identité des autres auteurs de ces actes ignobles à se rapprocher de nos services pour boucler au plus vite cette procédure douloureuse.
Par ailleurs, le Parquet présente ses sincères condoléances à la famille éplorée.
Vous allez subir le même sort vous procureur imbécile.. de même que Macky son cœur éventré d’une balle
@SU
on doit arrêter de tirer à belle réelles lors des manifestations ;on doit maintenir l’ordre sans utiliser des armes
D’abord avant tout la mort des 2 agents de renseignements généraux espèce de procureur téléchargé
Avec un horrible président comme Macky SALL, je vous jure qu’on a encore rien vu ! Sa présidence est remplie de cadavres, de morts, de malheurs, d’emprisonnelents, de souffrances. On vous disait qu’il y avait minimum 3 morts mais le gouvernement voulait tromper les gens en parlant d’un seul mort qui serait tué par l’hélice d’une pirogue. Et là, puisque les choses commencent à se calmer, ils vont commencer à sortir les morts 1 par 1, qu’ils vont coller sur le dos d’autres innocents pour les emprisonner. Ce n’est plus les journalistes qui découvrent ou annoncent les morts maintenant mais le gouvernement avec sa propre communication et ses propres manipulations. Sa présidence est vraiment macabre et remplie de malheurs, de mensonges, de trahisons, incompétences. Le Sénégal n’a jamais été aussi divisée. On a jamais vu un homme aussi mauvais. Seuls les Français ont profité de sa présidence pour s’enrichir. Pour les autres Sénégalais, on leur offre pas un travail décent ou l’opportunité de s’’enrichir de façon digne et honnête par le travail, non, on leur promet de l’argent sale, mal acquis, des terrains à condition qu’ils fassent le sale boulot et nuisent les Sénégalais. Sénégal meusuno guiss nit kou bone.
ce ne sont que les autres ethnies qui meurent au Sénégal, mais les halpoulars ne meurent jamais, ni arrêter, ni emprisonner.
GUIGNOL de procureur
Qui va te croire vaurien
Macky dégage
ce pays a vraiment depuis lavenement de ce mechant en politique , mais mougne lene bientot il sera hors detat de nuire ; il a vraiment changé les senegalais en instaurant la rancune et la haine dans le pays ;
avec ses dents you fangué yi mouye leni kagna
Doule rekk la ligueye yi domerame dji
Ce président n’a plus aucune autorité naturelle due au respect de sa fonction. Il ne connaît plus que les violences pour se maintenir en place.
Des chiens qui commentent comme d habitude ils sont toujours d accord avec les idiots qui font des conneries dans ce pays ouvrez le feu sur tout ce qui bouge c est le seul moins d d’arreter ces crétins l etat doit dissoudre pastef car pastef est plus dangereux pour les Senegalais que le 3e mandat de Macky qu ils utilisent comme prétexte pour brûler ce pays
Lorsqu un manifestante meurt ils ne disent Pas un Mot
ms si c est des nervis gnou mbel mbeli beug ko solal benen mboub
Ce procureur de la honte qui n’a sûrement pas de diplôme pour exercer ce métier après le départ de macky sall il va continuer son travail dans la brousse loin de la civilisation le pouvoir n’est pas éternel vous rendrez compte de vos actes malsains devant notre créateur le jour du jugement dernier. Les tueurs de jeunes
Le meurtre a eu lieu à Yoff Tonghor à quelques mètres de son domicile et non à Ngor.
Le meurtre a eu lieu à Yoff Tonghor à quelque mètres du domicile de la victime. Ce n’est pas à Ngor il faut rectifier dans votre article.
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Il faut apres radier tout les juges et provureirs qui ont trahit leurs serment, les poursuivre pour trahison, eliminer leurs pensions de retraite, et les interdire d’avoir des fonctions dans l’administration. Pour reformer la justice, il faut frapper fort et durement contre ces gens qui rende la justice au nom d’un parti, et d’un homme et pas au nom du peuple. Il faut pas avoir de pitie.