Les droits de l’homme traversent une période noire au Sénégal…

Me Assane Dioma Ndiaye ne veut pas pour l’instant se prononcer sur le rapport  du conseil  des Nations-Unies qui a intimé l’ordre à l’Etat du Sénégal de libérer Karim Wade condamné à 6 ans de prison ferme. « Il faut d’abord une position concertée avec les Ong et les autres », justifie-t-il dans L’Obs.

Cependant, le président de la Ligue sénégalaise  des droits humains a soutenu que la période que traverse les droits de l’homme au Sénégal est noire.

« A la Commission africaine des droits de l’homme à Banjul, le Sénégal a été malmené. Les commissaires ont été surpris d’entendre certaines choses venant  du Sénégal: les interdictions de sortie du territoire, les interdictions de manifestation, la situation des talibés, la question des détentions au Sénégal, les conditions inhumaines dans les prisons, des irruptions dérogatoires du droit commun, comme la Crei qui ne garantit pas un procès juste et équitable ».

Toutes choses qui font qu’au Sénégal, « tous les signaux sont au rouge et il importe de se réajuster, de redorer le blason du Sénégal, ou même essayer de retrouver sa place d’antan dans le domaine des droits humains »;

2 COMMENTAIRES
  • baba faye

    des fausses idèes , on c' est tout , votre seul but est d'èlargir l'homosexualitè , mais au Senegal ca ne passe pas

  • DEUGUE

    APPROCHEZ VOUS DE MONSEIGNEUR GUEYE DE THIES POUR LA DEFINITION DE L"HOMME"INSERE DANS VOTRE SIGLE

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