Le procès Aïda Ndiongue est ses présumés complices a été renvoyé au 17 mars faute de salle. Une occasion aussi pour les nombreux avocats de la sénatrice de s’imprégner du volumineux dossier.
D’ici là, les autorités judiciaires tenteront de chercher une salle pour ce procès spécial spécial. A en croire le président du tribunal correctionnel qui doit entendre 15 témoins dans ce sens, les audiences de ce procès ne doivent pas squattées des salles où d’autres dossiers sont traités.
L’ex-sénatrice libérale est poursuivie pour détournement de deniers publics dans l’affaire des produits phytosanitaires du plan «Jaxaay».