Le présumé agresseur du Pr Seydi s’explique : « C’est à cause de lui qu’on a enterré un proche… »

Alpagué et déféré ce mercredi 29 juillet, au parquet, le mis en cause se défend d’avoir menacé ou violenté Pr Seydi.

« L’agresseur » donne sa version des faits

Dans les colonnes du journal « EnQuête » qui a visiblement eu accès aux PV de police, l’ingénieur établi en France reconnait avoir interpellé Moussa Seydi, mais, indique-t-il, pour se plaindre.

Selon lui, il n’a pu se retenir face au médecin, parce qu’il était en colère qu’un proche ait été inhumé en France, à cause de l’interdiction de rapatriement des corps des Sénégalais morts de Covid-19.

« On a enterré un proche en France à cause lui… »

« C’est à cause de lui et de la décision d’interdire le rapatriement des corps des personnes mortes des suites du coronavirus, qu’on a enterré un proche en France. Ceci m’a fait trop mal. Je n’ai pas pu ne pas lui faire la remarque. Je reconnais aussi l’avoir suivi avec ma moto dans la circulation, puisque je n’ai pas digéré son silence qui me semblait être de la lâcheté, quand je parlais avec lui. Sinon, tout le reste de ce qui se dit dans la presse, je n’en suis pas l’auteur », aurait-il déclaré lors de son interrogatoire.

Selon la source, c’est le ministre de l’Intérieur lui-même qui a activé la Direction générale de la police nationale qui a choisi la Sûreté Urbaine pour s’occuper de ce dossier.

11 COMMENTAIRES
  • Aboubacar Balde

    c’est un bandit mettez le en prison pour le reste de sa vie.Seydi n’est pas le ministre de l’intérieur pour décider de rapatrier les morts du covid.

    • Bourbajolof

      Aveux…quasi complets…
      Trop facile défense..
      Et Ceux qui meurent pdt le pèlerinage, loin de chez eux ?
      Être enterré en France, serait malédiction ?
      Ingénieur et si borné ?

      • Le Républicain

        C’est quand même sous les conseil du spécialiste de les autorités ont pris ces mesures d’un autre siècle. Comme si une dépouille dans une caisse fermée peut contaminer le vivants.

        • Bourbajolof

          @ Républicain
          Mais non.
          1 structure de décision collective, (COUS), a competemment pris cette décision.
          S’acharner sur 1 membre de celle-ci ?
          La préméditation n’est pas loin…, qui le taraudait dep8 France…
          Ingénieur et aussi stupide ?

        • Bourbajolof

          @ Républicain, add.
          Imaginez la caisse (sic), en question, mal fermée…, ou se rouvrant pour N raison…

        • Ben diouf

          Mal fermée ??vous connaissez la procédure en France ? Je ne crois pas, sinon vous ne penserez pas une seule seconde qu’un cercueil qui doit quitter la France pour l’étranger puisse être mal fermée.
          On n’est pas au Sénégal là, ces normes ne peuvent absolument pas ne pas être respectée. Différents niveaux de contrôles de suivent et se contrôlent successivement…
          Alors…..vous ne savez peut etre pas….

      • Jules

        Oui c est une malédiction car au bout de 5 ans soit on paye annuellement sinon le corps est brûlé et on reçoit les cendres comme reste..

  • La Vérité

    Pr Seydi n’a pas fait preuve de grandeur. Il s’est rabaissé plus bas que son harceleur en colère.

  • Malick Diallo

    relaxe ce monsieur il a le droit de critiquer sont pas des injure publique il a raison il lui a dit ce quil penser de lui nexsageront pas quameme ces des choses depasser ya des gens plus dangeureux int les prend pas le ministre de linterieur lui meme il nas cas nous dire qui a signer le dossier de franck timis est le cas de aliou est le cas de mamour diallo rien nest claire encore deux pods deu x mesure ces de la mahonnetes intelectuellle ou vas ce pays un peux de respect vous voudrais faire plasire aux proffesseur seydi les citiques fait partie de la vie . est demain cest la tombe inchalla cette vie est ephemere un excemple est la ou est senghor . ou son ses bien cest une leçons pour les voleurs

    • Sory Diallo

      Malick,ton raisonnement est vraiment décevant pour un.Diallo

      • Ablaye

        C est un mois de pardon. Il parlait sous le coup de l emotion.

Publiez un commentaire