Le ministre de l’Environnement fixe les priorités pour 2025
Le ministre de l’Environnement et de la Transition écologique, Daouda Ngom, a exhorté ses agents à moderniser leurs méthodes d’intervention pour être à la hauteur des attentes des citoyens et améliorer sensiblement leurs performances. Cette déclaration a été faite lors de la cérémonie de présentation de vœux et de remise de décorations dans les divers ordres nationaux, à Dakar.
Dans cette lancée, M. Ngom a souligné que l’amélioration des performances visera en premier lieu à protéger l’environnement contre les nuisances et les pollutions, à effectuer des reforestations, à rénover les aménagements forestiers existants, et à renforcer la protection des forêts. Ces ambitions s’inscrivent dans une volonté forte de son ministère d’agir de façon décisive pour l’année 2025.
Le ministre a également indiqué que des efforts seront axés sur la prévention des risques biotechnologiques et sur l’expansion du réseau des aires marines protégées. Par ailleurs, il a souligné l’importance de l’éducation environnementale, en mentionnant que la formation et la diffusation d’informations seront des axes prioritaires pour encourager l’adaptation et l’atténuation des effets du changement climatique.
Il a encouragé l’ensemble de ses agents à œuvrer dans une dynamique commune au service du pays. Tout en célébrant les succès de l’année 2024, Ngom a salué la production considérable de plants en pépinière ainsi que la mise en œuvre réussie de la campagne de reboisement, parmi d’autres avancées.
Les initiatives telles que la lutte contre le braconnage, les opérations contre les feux de brousse, ainsi que la gestion des aires protégées ont également été mises en avant, avec un accent particulier sur le retrait du Parc national du Niokolo-Koba de la liste du patrimoine mondial en péril. APS souligne que ces efforts marquent un tournant dans l’engagement du ministère envers une gestion durable des ressources naturelles.
Mr le ministre il faut opérer des changements on a l’impression que c’est du surplace. à la direction des eaux et forêts c’est tout le management qu’il faut changer sur l’exploitation forestière, le reboisement et la lutte contre les feux de brousse. la direction des parcs doit s’ouvrir aux communes pour la création de réserves communautaire. La direction des aires marines doit aller davantage vers les communautés d’acteurs de la pêche pour une bonne gestion des pêcheries. Jusqu’ici c’est une lethargie qui est là tout le monde s’observe dans ce ministère