Treize organisations de la société civile sénégalaises(Artcle 19 Afrique de l’Ouest, Raddho, Amnesty international, Congad, …)se sont réunies pour dénoncer « le comportement inhumain des dirigeants gambiens ».
Selon elles, plus d’une trentaine de personnes (militaires et civils) sont arrêtées parce qu’ils sont proches des présumés putschistes (coup d’Etat qui a eu lieu dans la nuit du 29 au 30 décembre passé).
Elles s’inquiètent également des « conditions de vie et de détention de ces personnes qui sont du reste introuvables ».
Le société civile invite ainsi l’Unité africaine à prendre toute leur responsabilité afin que les Gambiens vivent en paix et jouissent de tous leurs droits humains.