Face aux jours sombres que vit l’arène, le journaliste Malick Thiandoum se veut porte parole des lutteurs et l’avocat des acteurs.
La lutte perd son combat
Très choqué par l’arrêt de la lutte, selon lui, l’industrie économique de la lutte est menacée. « Boy Niang est en train de faire juste de la diplomatie. Mais, il faut qu’on dise la vérité aux autorités. L’heure est grave. La situation est dramatique. Beaucoup de lutteurs ont péri en mer avec l’émigration clandestine. Si aujourd’hui, les lutteurs voyagent en pirogue, c’est parce que l’espoir est perdu. Et face au désespoir, on ne peur pas imaginer la réaction de l’homme », a-t-il déclaré, ce mardi, lors d’une conférence de presse.
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