La Fpu pour la mise en place d’une seconde chambre inter-religieuse

Le Sénégal organise le 1er sommet africain des dirigeants pour la Paix du 18 au 19 janvier 2018 au Cicad/ Dakar. Ce sommet, Indique M. Déthié Diouf, président de la Fédération pour la paix universelle (Fpu)- Section Sénégal, veut apporter à coup sûr de plus pour l’Afrique et le Sénégal. « Ce sera un moment de réflexions opérationnelles, d’actions utiles et de réalisations opportunes », dira-t-il. 

L’inspiration divine de la Fondatrice Mme Moon, entretenue par la Directrice continentale, Maman Kathy, avec son équipe, trouve tout le leadership et la clairvoyance du chef de l’Etat Macky Sall pour accepter la tenue du sommet en terre sénégalaise ravissant ainsi la palme à des pays africains mieux équipés dans le domaine des infrastructures.

Le président de la Fédération pour la paix universelle (Fpu)- Section Sénégal, M. Déthié Diouf, a souligné qu’il s’agit de promouvoir les Ojectifs du développement durable (Odd) en particulier, mettre l’accent sur les 16èmeet 17ème  points, en vue de mettre un frein aux cycles de violence qui sévissent au niveau du continent. Entre autres objectifs de ce sommet, les organisateurs veulent promouvoir le leadership et la bonne gouvernance, le rôle de la femme, la journée de l’Afrique des Nations Unies. Il importe pour eux de créer et renforcer le fondement pour la Coopération et la Tolérance Interreligieuse.

«Dieu ne se trompe jamais. Ainsi, la vision fondatrice de la Fpu «One Family Under», trouve son terrain d’application par l’excellence dans notre chère nation. C’est le lieu pour nous Ambassadeurs de Paix du Sénégal de rendre un vibrant hommage au Président Macky Sall pour nous avoir honorés de sa décision très opportune pour le Sénégal, a relevé M. Diouf.

Ce sommet, souligne-t-il, premier du genre en Afrique, traduit la volonté d’apporter sa pierre angulaire à l’édification exemplaire d’une Nouvelle Afrique construite sur une interdépendance positive, de coprospérité stabilisante reposant sur les Valeurs Universelles connues de tous mais volontairement mis en veilleuse.

Comme la Société des nations, l’Oonu a atteint ses limites d’où l’urgence de la réformer avec la mise en place d’une seconde chambre interreligieuse qui serait la réponse adéquate aux nouvelles formes de conflits qui minent le monde particulièrement l’Afrique. Dag Hamma Jorld, ancien Sg/Onu avait soutenu: «le monde ne connaîtra de paix qu’avec la renaissance spirituelle».

A cette étape de notre évolution, affirme-t-il, nous sommes pour une Afrique qui agit, à la place de celle qui réagit. Il faut changer de paradigme en faveur de la pro- activité.

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