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Juan Branco alerte sur une « trahison annoncée » : un appel pressant au sursaut du pouvoir sénégalais

Dans une longue déclaration publiée sur les réseaux sociaux, l’avocat Juan Branco lance une mise en garde solennelle : « Le legs de la révolution sénégalaise est en jeu. » Selon lui, les sacrifices consentis par la jeunesse sénégalaise risquent d’être dilapidés par l’inertie et les compromis d’un système qui, malgré le changement de régime, n’aurait pas véritablement disparu.

Un héritage menacé

Pour Maître Branco, la question va bien au-delà de la lutte contre l’impunité ou du respect des promesses faites lors des mobilisations populaires. Elle touche au cœur même du destin d’un peuple qui, selon lui, a donné « une leçon au monde ».
Mais il constate que l’administration n’a pas été profondément transformée : « Les mêmes ambassadeurs, les mêmes magistrats, les mêmes économistes et administrateurs sont au pouvoir », affirme-t-il, regrettant l’influence persistante de « l’ancien monde ».

Il fustige particulièrement la présence de figures et réseaux qu’il considère comme liés à l’ordre ancien, citant des dossiers sensibles : Dakarnave, Orange, la fondation Bill Gates ou encore certains conseillers qu’il accuse de perpétuer des schémas coloniaux.

Une alerte contre une possible déviation politique

Juan Branco s’indigne qu’après tant de sacrifices — morts en mer, violences politiques, répressions — certains évoquent déjà l’horizon électoral de 2029, y voyant une insulte aux victimes.
Il estime que les lenteurs, blocages administratifs et inerties stratégiques pourraient mener le pays vers de nouvelles tragédies : recrudescence de l’émigration clandestine, vulnérabilité des frontières à l’Est, et même dérives autoritaires internes.

Dans son texte, l’avocat évoque également des enquêtes bloquées, des crimes non élucidés, et une impunité qu’il juge insupportable pour de nombreuses familles encore meurtries.

Un plaidoyer pour une rupture totale

Pour lui, le Sénégal doit embrasser une transformation radicale :
– affronter les institutions financières internationales,
– tisser de nouveaux partenariats avec les BRICS,
– reconstruire sa politique extérieure,
– repenser sa défense et son économie,
– restaurer pleinement sa souveraineté monétaire.

Il affirme qu’un pays ayant montré une telle dignité ne peut accepter que son avenir soit « pillé ».

Ousmane Sonko, « seul dirigeant légitime » selon Branco

Dans un passage particulièrement fort, Juan Branco affirme que l’unique légitimité politique actuelle réside en Ousmane Sonko, qu’il présente comme l’homme ayant brisé le système et conduit son camp à la victoire :
« Cet homme qui a battu un système et l’a forcé à plier est le seul dirigeant légitime de ce pays. »

Il estime qu’aucune barrière institutionnelle ne devrait entraver son accès au pouvoir, appelant même à une réforme constitutionnelle si nécessaire pour trancher tout conflit de légitimité.

Une mise en garde historique

Le texte se conclut par une adresse directe au pouvoir :
« Que ceux qui font obstacle à la souveraineté du peuple se soumettent ou se démettent. »

Branco appelle le Sénégal à se montrer à la hauteur de ses martyrs et de son histoire récente, avertissant que la révolution populaire ne saurait être trahie sans conséquences.

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8 commentaires

  1. LI MA GUISS NI, PEUT ENGENDRER UN SOULEVEMENT POPULAIRE. NOS VOTES NE DOIVENT PAS ETRE DETOURNE A D’AUTRES FINS


  2. Un sérère sera toujours un sérère. L’histoire du Sénégal nous a appris une leçon mémorable étant remplie de traîtrise.


  3. CEST COMME SI ONT AVAIT PAS VOTE EN 2024 POUR UNE RUPTURE. RIEN NA CHANGE PARCEQUE LE MINABLE FAIT DE LA POLITIQUE. IL APPARTIENT AU PEUPLE SENEGALAIS, AUX MILLIONS DE CITOYENS QUI ONT VOTE POUR LE CHANGEMENT DE SE DRESSER. CE QUI SE PASSE DEPASSE LARGEMENT SONKO. CEST UNE TRAHISON A L’ECHELLE NATIONALE QUE LES VOTANTS NE DOIVENT PAS ACCEPTER. NOUS AVONS VOTE POUR UNE RUPTURE ET UN CHANGEMENT.


  4. Branco a tout vu. Les nouvelles autorités ont mal démarré pour commencer à gérer les affaires de l’état. Les hommes clés de l’ancien régime sont restés à la commande et jusqu’à présent c’est le même scénario. Et pourtant Pastef regorge des cadres intègres et compétents. Diomaye a promis de tout balayer mais le courage n’y était pas.

    Et si la situation ne change pas on verra le retour des délinquants de tout genre.

    La transhumance s’annonce ( voir un ex directeur adhérer diomaye president).

    Si Diomaye se laisse distraire par ces bandits de grands chemins, le peuple va lui tourner le dos et il sera le grand perdant.


  5. Mais de quoi se mêle ce petit avocaion pd violeur vomi par son pays mais bon comme son client a dit que c’est toléré dans ce pays donc il peut tout se permettre


  6. CE GUIGNOL DE DIOMAYE SE CROIT PLUS INTELLIGENT QUE LES PATRIOTES MAIS IL SE TROMPE LOURDEMENT ( JE MÉRITE D’ÊTRE LE PRÉSIDENT) ALORS QUE TU N AS JAMAIS GAGNÉ DANS TON BUREAU DE VOTE TOUS CE QU IL DISAIT GUEUMOU CI TOUSS CAR IL A TOUT BOUFFÉ CE QU IL VOMI TCHIM SALETÉ


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