Ismaila Sarr sur son adaptation: « A l’entrainement, dès fois je ne comprends rien du tout »

Ismaïla Sarr se livre à BBC. Dans cette interview exploitée par Senego, l’attaquant international sénégalais parle de son adaptation à Watford. Les difficultés qu’il rencontre dans son nouveau club, la langue, les conseils de son idole Sadio Mané, l’enfant de Saint-Louis dit tout. 

La langue… c’est difficile

« Là ça va, je commence à comprendre un tout petit peu. En plus, il y a des Français ici, je parle avec eux. Mais pour dire la vérité, ce n’est pas facile du tout. La langue est difficile, ça parle vite. A l’entrainement, dès fois je ne comprends rien du tout. Dès fois le coach il appelle Capoue ou Doucouré pour qu’ils traduisent à mon intention », a-t-il laissé entendre.

Sadio Mané, c’est mon idole, mon grand frère

« Quand j’étais à Metz et même à Rennes, je regardais tout le temps les vidéos de Sadio Mané, je le fais jusqu’à présent. C’est mon idole. Je le dis partout. Quand on est en sélection, il me donne beaucoup de conseils. C’est un grand frère », a confié Ismaïla Sarr.

2 COMMENTAIRES
  • Diaxlé

    Merci Ismaila Sarr pour ces commentaires qui doivent laisser des traces et bien éveiller MADY TOURÉ et tous les jeunes qui jouent au football dans notre pays et rêvent de devenir professionels.Le foot ce n´est pas seulement poursuivre le ballon, tirer dessus et marquer des buts. C´est aussi comprendre et appliquer les consignes de son entraineur, répondre aux questions des journalistes devant les télés…. Beaucoup de sénégalais qui ont étudié dans des pays non francophones comme la Russie, la chine, l´Italie,… ne me démentiront pas.Les grands footballeurs mondialement connus parlent au moins une langue internationale comme l´anglais, le français, l´espagnol, le portuguais, le russe, l´arabe,….

  • Alou

    A nos jeunes frères qui veulent devenir Pro inspirer de lui et étudier car maintenant c’est le sport étude pour ne pas rencontrer des difficultés dans l’avenir
    Courage Sarr et étudie pendant tes temps libres…

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