Harry Redknapp sur le décès de Pape Bouba Diop : « Le perdre à un si jeune âge est si triste… »

L’ancien entraîneur de Portsmouth, Harry Redknapp, a déclaré qu’il était « chanceux d’avoir managé » Papa Bouba Diop, décédé ce dimanche des suites d’une maladie.

Le vibrant hommage de Harry Redknapp

L’ancien milieu de terrain sénégalais, décédé dimanche à l’âge de 42 ans, a passé trois saisons à Portsmouth et faisait partie de l’équipe de Redknapp qui a remporté la FA Cup 2008.

« J’ai été très chanceux d’avoir géré un garçon aussi fantastique. Il était spécial. Il a fait un excellent travail pour moi à Portsmouth et je pense que les fans de Portsmouth l’ont aimé », a déclaré Redknapp à BBC Sport, visité par Senego.

« Je ne pouvais tout simplement pas y croire »

Redknapp a poursuivi : « Il était si grand que vous ne pouviez pas le déplacer. C’était un gros colosse – vous ne voudriez pas jouer contre lui. Je parlais à mon fils Jamie et il a dit contre quel cauchemar il allait jouer. Il était si puissant – un géant d’homme. Il courrait partout sur vous. Il était génial dans les airs et il pouvait passer. C’était juste un talent spécial. J’étais désemparé quand j’ai appris que le grand homme était décédé, je ne pouvais tout simplement pas y croire. Il avait été un gars si sain, en forme et fort. Quel athlète ! Un géant homme et de le perdre à un si jeune âge est si triste. »

Redknapp a ensuite  déclaré que malgré la taille de Diop, il était un « gentil géant ».

« Il était toujours heureux. Il n’avait jamais un mauvais mot et se moquait toujours des blagues les plus coriaces. Il avait l’air agressif sur le terrain parce qu’il était si grand mais il avait toujours un sourire sur son visage. Je ne l’ai jamais vu avoir un mot contraire ou être misérable – il était toujours optimiste », a-t-il conclu.

1 COMMENTAIRE
  • BIRAME NDOYE

    TRÈS BEL HOMMAGE. MERCI MONSIEUR L’ENTRAÎNEUR.
    QUE FIRDAWSI SOIT LA DEMEURE ÉTERNELLE DE PAPE BOUBA DIOP PAR LA GRÂCE DU PROPHÈTE MOHAMED SAWS AMINE YA ALLAHOU AMINE YA RABBI AMINE YA MOUDJIBOU.

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