Une assemblée générale élective pour la mise en place de la Fédération sénégalaise de lutte (FSL), qui remplacera l’actuel Comité national de gestion de la lutte (CNGL), se tient ce dimanche au stade Léopold Sédar Senghor, à Dakar, a annoncé le ministère de tutelle.
La Commission électorale de la FSL a validé définitivement 96 candidats pour les 27 postes à pourvoir. Parmi eux, onze briguent la présidence de la nouvelle instance. Il s’agit notamment de Mamadou Bèye (Association Fekke Maci Boole, Dakar), Mamadou Diakhaté (ANPLAF, Dakar), Babacar Diop (Écurie Falang, Thiès), Papa Babacar Fall (Institut international de lutte, Dakar) et Fallou Faye (Écurie Baol Mbollo, Dakar). Sont également candidats Babacar Guèye, Kéba Kanté, Biram Bigué Mbaye, Hyacinthe Ndiaye, Yacine Ndiaye et Ibrahima Sène.
Trois candidats se disputent le poste de vice-président chargé de la lutte traditionnelle avec frappe, et six briguent la vice-présidence de la lutte traditionnelle sans frappe. La vice-présidence de la lutte olympique compte sept candidats, tandis que huit aspirants se présentent pour le poste de vice-président chargé du beach wrestling.
La commission électorale a également enregistré dix candidatures pour le poste de vice-président chargé de l’organisation et quatre pour celui chargé des finances. Une seule personne se présente au poste de trésorier général. Enfin, quarante candidats briguent un siège au comité directeur de la Fédération sénégalaise de lutte.
Il est temps que l’on revienne au temps où les grands lutteurs n’aspiraient qu’à une chose, représenter leur pays sur le plan international en lutte olympique. Pour cela, les Double Less, Ambroise, Toubabou Dior, Mor Fadam, Tapha Guèye, … etc … n’avaient pas peur de s’enrichir techniquement et de prendre le risque, entraînés par un toubab F. Rubio, actuellement expert de l’UWW Fila. 2028, c’est demain. Si on veut faire parler de notre pays, il n’y a pas que le Foot !