La voisine de Djiby Diouf, Yacine, encore sous le choc, témoigne de la proximité qu’elle partageait avec le gendarme. Elle raconte qu’il lui avait donné le nom de sa fille, une homonyme d’elle, en raison de la relation étroite qu’ils entretenaient. Touchée par cette tragédie, Yacine n’a pas pu contenir ses larmes face à cette perte brutale.
Djiby Diouf, originaire de Diohine, plus précisément de Ngardiam dans la région de Fatick, était un homme discret, un bon musulman, sans fréquentations douteuses. Il faisait partie de la 51ᵉ promotion E/Gend. CONT-17/2.
Le dimanche 23 février, il avait effectué son service avant de regagner son domicile. Le lendemain, ses voisins l’ont retrouvé sans vie dans sa chambre. Ce décès brutal a choqué tous ceux qui le connaissaient.
Innalilahi Wa inna illeyhi rajihoune
Paix à son âme et que le paradis soit sa demeure éternelle.
Que Allah swt le pardonne et lui accorde sa Miséricorde !
Les journalistes ont grandement besoin de se refaire un vocabulaire adéquat. Un décès brutal signifie un décès suite à un acte de violence ou d’accident.
Toute mort non survenue à la fin de l’évolution d’une maladie peut être qualifiée de brutale ( exemple intoxication, AVC, malaise ETC …..)
Que dieu l’accueil dans son paradis
Oh paix à son âme
Paix à son âme
Paix à son âme…