Dakar, capitale anar…
Autant il y a eu une cure de jouvence dans la rationalisation des candidatures à l’élection présidentielle dernière, autant de l’ordre doit être remis à Dakar, où le laisser-aller et le laisser-faire ont pignon sur rue.
L’occupation anarchique de ses rues confronte la capitale sénégalaise à l’incivisme citoyen qui, dans le Guiness des records trusterait les sommités de l’extravagance.
Anars à souhait riverains et usagers chahutent l’espace public. L’incendie de la gare-marché de Petersen, vendredi dernier, découle de ce « maatay » collectif érigé en dialogue comportemental dans tous les compartiments de la capitale.
Voitures en panne depuis l’aube des indépendances, ateliers d’ouvriers et édifices commerciaux empiètent l’emprise publique, contribuant à reléguer Dakar au rang des capitales les plus insalubres.
Quid des mesures prises ça-et-là pour rendre la voix de l’autorité audible ? Juste effets d’annonce, les mauvaises habitudes reprenant parfois au lendemain des soubresauts législateurs, laissant penser que l’autorité manque d’autorité devant les caprices crypto-personnels des anarchistes de Dakar.
C’est dire même si les moyens financiers et logistiques accompagnent les mesures d’urgence pour assainir Dakar, la fermeté et le suivi désertent l’organisation, parfois par peur d’égratigner telle ou telle communauté, corporation, pour des considérations politiques, de terroir ou autres.
En dernière analyse, Kaye Findu, Rokhou Djinné, Petersen, Parc Lambay, entre autres gros villages, font de Dakar la capitale de l’insalubrité et du désordre.
Un désordre est toujours beaucoup plus coûteux, beaucoup plus meurtrier qu’une injustice et « des actions contre nature produisent des désordres contre nature », renchérit William Shakespeare.
WAW MAIS…VÉRITÉ ABSOLUE,IL FAUT QUE LA FERMETÉ Y SOIT,SINON ON IRA NUL PART.
Il n y pas de surprise. Tout ce désordre qui règne dans le pays, nous l’avons bel et bien façonné.
Malheureusement, dans ce pays nous prenons le plus souvent que des mesures correctives. Pour preuve, l’Etat du Sénégal n’a organisé un conseil interministériel qu’après avoir constaté un nombre important de marchés qui prennent feu.
Aujourd’hui on se focalise sur les marchés demain on bascule sur un autre lieu publique au lieu de lutter contre le mal à la source. Nos services publiques valident les plans de construction comme pas possible.
Il faut que les lois soit appliquée a l’instar du Maroc car quand ont parle de l’émergence il faut penser a ramener l’ordre et surtout organiser les jeunes du quartier parfois les dotter du matériel dygenes public
Nous sommes un peuple de bla-bla politiciens. Nous sommes des littéraires, malgré nos études nous ne savons pas diriger décider et passer à la PRATIQUE. Pour Petersen il doit y avoir une affaire de terrain bien placé en centre ville qui interesse certains. Sinon il suffit de placer dans chaque grand marché, un poste avancé de sapeurs pompier intégrés autonome en eau et matériel mobile type moto Quad pour désamorcer tout départ de feu. Obligation d’extincteur moyen et assurances pour chaque boutiquier. Interdire d’habiter dans les boutiques, FERMER les marchés selin les types de 18h à 6h00 pour nettoyage et entretien.
L indiscipline est notoire au Sénégal et c est celle-là qui est la base de notre soit disant émergence il faut que l état soit sérieux avec le peuple et nous sommes plus des dupes travailler et laissez cette politique politicienne qui nous empêche de vivre nos droits sachez que la prévention est la solution de toutes équations. …
tous les trottoirs de Dakar sont laissés a la merci des marchands ambulants, les tabliers et des vendeurs de voitures! Dakar présente une image d’une capitale qui étouffe sous le poids d’un desorde indescriptible et ahurissant indigne d’une capitale.Ou sont les autorités de ce pays!
Dakar un laissè allè total
Juste des effets d’annonce. Ces anarchistes occupants l’espace public sont leurs parents du village e ils ont les mêmes marabouts…qui leur commandent de les laisser envahir la jadis belle capitale…