Plébiscité à la présidence du Comité National de Gestion de la lutte (CNG), le coach Malick Ngom se réjouit de la confiance qui lui a été accordé par plusieurs acteurs de la lutte. Il déclare avoir déposé son dossier au niveau du CNG. L’arbitre n’a pas raté le président sortant Bira Sène, qui selon lui, ne devait pas présenter sa candidature.
« Je suis ému par la confiance qui m’est accordée. C’est un sacerdoce ! Je crois qu’on peut changer la gestion du CNG. Il doit y avoir une relation plus cordiale entre le CNG et les lutteurs car nous sommes tous des frères.
Tous les lutteurs me soutiennent et pourtant je n’ai rien demandé. Balla Gaye est là tout comme Gris Bordeaux. Ama Baldé m’a appelé hier soir pour me réitérer son soutien et Modou Lô m’a envoyé un message de soutien tout à l’heure. Je remercie aussi Baye Ndiaye, et tous les autres promoteurs (…) », a déclaré Malick Ngom ce mercredi au sortir d’une rencontre dans le cadre de la désignation du prochain président du CNG.
En à croire Malick Ngom, Bira Sène ne devait même pas être candidat à sa propre succession car ceux qui l’ont porté à la tête du CNG ne veulent plus de lui.
« Il devait donc démissionner. Le verdict est clair, les gens veulent le changement et je crois que s’il s’agissait d’une élection, on aurait remporté la victoire haut la main », a déclaré l’arbitre.