Building administratif : Révélations sur Dooke Works, la société française incriminée

L’entreprise française Dooke Works à l’origine de l’incendie survenu jeudi dernier au Building administratif de Dakar, en soudant un point d’ancrage avec un chalumeau, est spécialisée dans la branche de travaux sur cordes.
Selon Libération, Dooke Works, qui vient d’ouvrir tout récemment des filiales au Sénégal et en Côte d’Ivoire, a gagné un DRP de 14,9 millions de FCfa, alors que des sociétés sénégalaises rompues à la tâche, pouvaient exécuter ce service.
Au Sénégal, on ne connaît aucun état de service à Dooke Works sortie de l’anonymat après l’incendie. Pis, renchérit Libération de ce mardi, Dooke Works, qui était chargée du nettoyage des baies vitrées du bâtiment, n’avait pas pris de police d’assurance.
La société française avait été choisie à l’issue d’un appel d’offres restreint lancé par le Dage du Secrétariat général du gouvernement. Un marché considéré comme opaque.
3 COMMENTAIRES
  • l'ancien

    C’est extraordinaire décidément ce pays va mal comme disait Alpha Blondy le Sénégal est une  »propriété » de la France. Il est temps pour nous de savoir notre indépendance n’est pas acquis à 100% mais à 10%, par ce que nos gouvernants sont à la solde de la France. Cette chanson de Blondy nous montre la triste réalité de ce qui se passe en Afrique.

  • SEYDI

    Alors là l’ancien tu ignores carrément de qui tu parles et de quoi tu parles , d’ailleurs qu’est-ce que une citation de Blondy à avoir avec un bâtiment qui prend feu , peux-tu me citer une seule entreprise Africaine , je dis bien Africaine avec les compétences requise pour avoir la charge de surveillance d’un bâtiment de ce standing ? avant de vous faire hara-kiri sachez d’abord pourquoi , critiquer pour critiquer c’est absurde même quand vous vous détestez parce que la nature ne vous a pas privilégié battez vous avec vos propres moyens soyez modeste , mais si vous changez Jean par Paul vous n’avancerez pas pour autant .

  • Boynar

    Cette histoire est très grave. Arrêtez vos querelles et réfléchissez sur comment ne plus répéter ces legeretés qui non seulement ont coûté trop cher à nos finances publiques mais auraient pu entraîner des pertes de vies humaines.

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