Le petit frère de l’avocat Me El Hadji Diouf du nom de Cheikh Fall, qui a maille à partir avec la justice dans une affaire de diffamation est loin d’être pardonné par le grand frère qui s’est constitué partie civile pour laver son honneur. L’avocat qui a été joint pae Senego, a rectifié cette désinformation portant le parrainage de sa fille mariée à Cheikh Fall qu’il traîne présentement devant la justice.
Une rumeur selon laquelle l’avocat Me Me El Hadji Diouf aurait pardonné son petit frère Cheikh Fall qui l’avait diffamé, alimente faussement les débats. En effet, dans les réseaux sociaux, circulent des informations qui font croire que la robe noire a fumé le calumet de la paix avec son accusateur, après avoir avoir fait de lui, le parrain de sa fille aînée qui s’est récemment mariée.
Joint par Senego, l’avocat a rectifié : « il y a une confusion savamment orchestrée faisant croire que j’ai renoncé à poursuivre Cheikh Fall devant la justice ».
La nouvelle dans cette affaire, c’est que l’avocat qui a récemment donné sa fille en mariage, a fait de Moussa Fall, le parrain et qui est non moins grand frère de Cheikh Fall. Donc « il y’a lieu de faire la différence entre Moussa Fall qui a donné ma fille en mariage et son petit frère Cheikh Fall que j’ai traduit devant la justice pour le préjudice qu’il m’a causé » a-t-il précisé.
Pour rappel, Papis Diatta qui a commis Me El Hadji Diouf pour la défense de ses intérêts dans une procédure de succession, avait porté en même temps que Cheikh Fall, des accusations de détournement de 200 millions F Cfa contre l’avocat.
Des charges jugées diffamatoires par l’accusé qui a porté plainte, avant qu’une enquête ne soit ouverte, suivie de leur placement sous contrôle judiciaire pour défaut de preuves.
A noter que le parrain Moussa Fall est l’un des conseillers de la présidente du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE), Mimi Touré. Lui qui a scéllé le mariage chez Me El Hadji Diouf, dans la plus grande sobriété, dans ce contexte de pandémie où les grands rassemblements sont interdits provisoirement.
Aujourd’hui, le dossier reste pendant devant le juge d’instruction du 1er cabinet, et Me Diouf n’entend pas renoncer outre mesure, à aller jusqu’au bout afin que la lumière puisse jaillir dans cette affaire gravissime, dont le seul objectif visé selon lui, consiste à ternir son image, et porter atteinte à son honorabilité.