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Abdou Faty: « Nous ne négocierons plus avec Serigne Mbaye Thiam

Abdou Faty: « Nous ne négocierons plus avec Serigne Mbaye Thiam

Aprés la  dernière sortie du ministre de l’Education nationale,  le secrétaire général du syndicat des enseignants libres  du Sénégal Sels/A), Abdou Faty, durcit le ton et menace.

Serigne Mbaye Thiam  reprochait aux enseignants de faire  de la propagande en instrumentalisant les élèves dans leur lutte syndicale.

Ces allégations ont  été rejetées  par le syndicaliste,  Abdou Faty, avant d’ajouter que les enseignants ne négocieront plus avec leur ministre  de tutelle.

« Le Sels/A a rompu le pacte  d’élégance. Nous avions, ensemble établi une relation de confiance, mais  le ministre vient de rompe ce pacte en jetant les enseignants en pâture. Nous allons discuter avec le gouvernement afin de revoir notre position« , a-t-il martelé.

Dans le même sens , Abdou Faty révèle que le ministre fait la promotion de certains de leurs collègues pour le poste d’intendant.

2 COMMENTAIRES
  • Abdoulaye

    Vraiment on n’a assez des grèves sempiternelles.Toujours les enseignants menacent et passent à l’action.L’état doit être ferme et se débarrasser de ces enseignants politiciens manipulés par l’opposition en mal de représentativité.Les étudiants recalés peuvent enseigner mieux que certains d’entre eux.

  • Cheikh Tidiane Diene

    macky sur la grève des enseignants il faut faire comme abdou Diouf avec les policiers les radier définitivement de la fonction ne pas céder au chantage ces gens il faut les punir sans pitié ils ne sont pas des patriotes ils sont entrain de sacrifier l avenir de nos enfants pour simplement des revendications alimentaires ils observent une semaine de grève sans se soucier de quoi que ce soit la plupart d entre eux sont des politiciens il faut taper très fort pour en finir une bonne fois pour toute. il ya des jeunes diplômés de l université qui choment il faut les recruter et les former pour qu’ ils remplacent ces gens la qui ne veulent pas travailler pour le bien-être de nos enfants qui sont dans le public alors que parmi eux certains ont inscrits leurs enfants dans les écoles privées.

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