Les journalistes et les professeurs dans la rue…Aliou Sall esseulé… Points sur l’actu de ce mercredi sur Senego
Aliou Sall est esseulé. Son double wakh wakhète en est la principale cause. Les revirements de Aliou Sall ont donné le tournis à plus d’un dans une affaire à plusieurs rebondissements. Pour l’acte 1, il avait déclaré être la tête de liste de Bby à Guédiawaye pour les Législatives, avant de se raviser sur injonction de son frère président pour l’acte 2, avant de revenir en charge dans l’acte 3 pour maintenir sa candidature. Et dernier revirement, la baisse des rideaux, le maire de Guédiawaye dit respecter finalement la décision du chef de l’Etat, le président Macky Sall. Ouf!…Une fin de semaine infernale… mais pas fin pour les apéristes.
C’est ce jeu de yoyo qui a fait bondir des responsables de l’Apr dont Moustapha Diakhaté, sur la Tfm, a été le plus virulent. Morceaux choisis:
« Aliou Sall est un menteur, un provocateur, quelqu’un qui n’a aucun respect pour ses aînés. Quand il a dit qu’il renonçait à sa décision d’être candidat, moi je m’en suis réjoui, car j’avais cru que la décision venait de lui et de son oncle Abdoulaye Thimbo pour ne pas gêner le président de la République. Macky Sall nous a fait du tort. son frère nous a offensés et il faut qu’il répare ce tort. Je demande que Aliou Sall ne figure sur aucune liste de Bby aux Législatives. Et s’il se présente sur une autre liste qu’on le chasse du parti. Je le répète Aliou Sall est impoli… »
Les journalistes dans la rue. A l’appel de la coordination des entreprises de presse (Cap), qui réunit l’ensemble des organisations de la presse, les journalistes du Sénégal, très en colère, seront dans la rue aujourd’hui mercredi qui coïncidé avec la journée internationale de la presse.
Et un mémorandum a été mis en branle: l’environnement économique de la presse, le Code de la presse, la Maison de la presse, les problèmes liés à la fiscalité, le non-respect de la grille des salaires, la couverture sociale des travailleurs, la publicité, l’aide à la presse…
Ces patrons de presse ont fini également de rencontrer pour sensibilisation les autorités religieuses, Touba, Tivaouane, le Clergé, la société civile…
Pour Mamadou Ibra Kane, coordonnateur de la Cap tous les clignotants sont rouges. Et la part de responsabilité des patrons de presse et de l’Etat reste partagée
Les enseignants des universités dans la rue. Le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes) a décidé d’observer 48 heures de grève, les jeudi 4 et vendredi 5 mai. Pourtant, note le communiqué parvenu à la presse, ces enseignants s’étaient « engagés à œuvrer pour un apaisement du climat au sein des campus universitaires dans l’attente des conclusions de la conférence sociale ».
Le Saes qui était en conclave samedi dernier s’est penché sur les conclusions de la 2e conférence sociale tenue les 24 et 25 avril dernier à Dakar. Aussi marque-t-il « toute sa déception et sa désapprobation par rapport aux conclusions issues de la table ronde relative à la viabilité du régime Fond national de retraite( Fnr).
Pour ces enseignants, il n’est pas question d’entériner les décisions retenues lors de cette table ronde et reste sur l’accord conclu avec le Gouvernement qui doit respecter ses engagements.
toliabdrahim
M d est un imbecile il n’est rien ce un malade mental…il ne jouit pas de ses facultés mentales…sokhor rek do dara.
l’État doit respecter son engagement
le plus faux homme de ce pays c toi diakhaté si c etait toi seul senegal n entendrait pays de la teranga quitte la bas vaut rien comme toi
L’homme le plus incorrect du Sénégal C vous Mr diakhaté vous êtes un malade mental tu rien contre Aliou sall tout ce qu’il a eu il la mérité il n’a jamais était nommé donc foutais