Violences électorales à Saint-Louis : Les explications de la Police nationale…
Le lundi 11 novembre 2024, une manifestation politique à Saint-Louis a dégénéré en violences, entraînant des blessés parmi les participants. Face à cette situation, la Police nationale a rapidement intervenu pour rétablir l’ordre dans la ville, parvenant ainsi à limiter les affrontements.
Selon la Police, quatre individus ont été interpellés sur les lieux de la manifestation, soupçonnés de coups et blessures volontaires. Ces personnes ont été placées en garde à vue au commissariat central de Saint-Louis.
Dans la nuit, vers 1h30 du matin, un détachement de la Brigade d’Intervention Polyvalente (BIP), soutenu par le Groupement Mobile d’Intervention (GMI), a intercepté une caravane de véhicules à environ 50 kilomètres de Saint-Louis.
D’après la même source, Cette caravane était liée à une coalition politique, et lors de la fouille des véhicules, un important matériel dangereux a été saisi, comprenant des bombes asphyxiantes, des bâtons télescopiques, des douilles, des tasers, des couteaux et des lance-pierres.
Au total, 77 personnes, dont une majorité de gardes du corps, ont été arrêtées pendant cette opération. Sept véhicules transportant des équipements dangereux ont également été saisis par les autorités.
Selon la police, les enquêtes se poursuivent afin d’établir les responsabilités de chacun dans ces événements violents.
C est clair et net.si la perquisition dans cette caravane à révélé cette découverte extrémement dangereuse qui constitue des faits de premeditation allant à la réalisation d assassinats,le chef de fil de cette caravane,tête de liste doit être interpellé,la période électorale n à rien à voir avec des enquêtes judiciaires.
L état doit faire preuve de fermeté et force doit rester à la loi
Étant donné que c’est des évènements de foule, laissons la police mener sereinement son travail afin de distinguer les présumés coupables et les supposés innocents conformément aux lois et règlements du pays pour que dame justice ne soit pas induite en erreur.
Les agresseurs sont à baobab chez Barth en train de faire un point de presse.Venez les arrêter pour qu’ils répondent de leur sale besogne.
Faut ceux que tu dit St au rompoin école normal