« Les policiers ne se sont pas contentés de violer les franchises universitaires. Des filles ont été violées par des policiers. Les policiers ont saccagé des chambres. Ils ont volé des ordinateurs et des téléphones portables. Ils ont violé des étudiantes sans défense et tabassé sauvagement des camarades ». Ces propos tenus par Apolinaire Diatta de la Faculté des Lettres et Sciences humaines (Flsh) de l’Ucad et qui barraient la « Une » de « L’observateur » du 23 mai dernier avaient fait tilt.
Selon nos confrères de Libération, A. Diatta a été discrètement interpellé par la Division des Investigations criminelles (Dic) et mis à la disposition du Procureur de la République. Devant les enquêteurs, il a reconnu être l’auteur de ces propos avant de préciser qu’il … mentait. Et que ce sont ces camarades étudiants, qui se trouvaient derrière lui, qui lui ont soufflé les propos et qu’en réalité il n’a vu aucun policier violer des étudiantes ou voler.
LE MENSONGE EST HEREDITAIRE
TCHIPIRI!
do rouss sakh. SAY MOROME BOUGNOU BEUG FENE YAW LAGNI YONI LOUTAKH DOUGNOU DEMAL SENE BOOPE