Tyson : « Les promoteurs ne peuvent plus organiser les combats… » (vidéo)

L’arène sénégalaise broie du noir. Les jours passent et se ressemblent pour les lutteurs qui ne  parviennent plus à descendre dans l’arène faute de combats.Pourtant, la lutte avec frappe est une des disciplines phares du sport sénégalais de par son ambiance, sa rentabilité pour ses acteurs et sa popularité. Elle traverse aujourd’hui, une grave crise et file tout droit vers la mort.

« Les promoteurs ne peuvent plus organiser des combats de lutte.  Et il y a plus de 1200 lutteurs licenciés » a soutenu Tyson. Mieux encore, selon le leader de la génération Boul Falé, « la lutte comme le CNG ont été victime de leurs propres succès. Et que chaque produit à une durée de vie. »

Le cours de marketing de Tyson 

Le monument et l’icône des années 2000 souligne que gérer c’est prévoir. Et que les dirigeants devaient savoir, d’ici 20 ans ce devait arriver avant d’anticiper. Elles n’ont pas vu venir cette crise »se désole -t-il .  Selon lui, la solution est de réfléchir sur une stratégie rentable permettra à tous les acteurs « managers, lutteurs, vendeurs, de se bénéficier ». Ce qui n’existe pas jusqu’à présent. »

L’absence de « gros bailleurs » et sponsors

Il faut noter que la lutte est victime de l’absence de ceux qui sont considérés comme les « gros bailleurs ou promoteurs » de l’arène. Ajouter à cela la fuite depuis bientôt trois ans de principaux sponsors qui appuyaient l’organisation concoctée par les promoteurs, en soutenant les gros cachets des lutteurs (entre 50 et 100 millions FCFA) devenus lourds pour tout le monde.
Beaucoup d’aléas et de contingences qui ont presque « tué » la lutte sénégalaise avec frappe, qui cherche aujourd’hui une issue.

1 COMMENTAIRE
  • gothie diouf

    Merci d’avoir arreter la lutte .bilahi comme je ne suis pas mort durant tes combats.toujours sous haute tension. Ndaw sa ndene aram fakha boroom dix.

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