« Transformer le système éducatif au lendemain de la COVID… », (Directeur de la planification)

Cheikhna Lam directeur de la planification et de la réforme au ministère de l’éducation nationale était, ce jeudi, avec l’UNESCO dans le cadre de la validation de notre stratégie nationale sur les ressources éducatives libre qu’on appelle les REL.

Ressources éducatives…

Une activité, d’après M. Lam, qui « revers une importance capitale pour le pays parce que couronnant un long processus sur lequel on a travaillé avec l’UNESCO sur appui de l’AFD qui nous a permis d’être dans un programme régional avec d’autres pays qui nous permet de pouvoir stabiliser un document de stratégie nationale sur l’utilisation des ressources éducatives libre. Et quand on parle de ressources éducatives, il s’agit de ressources de qualité, des ressources qui sont gratuites et les ressources qui seront mises à la disposition de nos enseignants et des académies pour renforcer la qualité des enseignements apprentissage, mais aussi, renforcer la capacité de nos enseignants« .

Des orientations…

D’abord, souligne le directeur de la planification et de la réforme, « il s’agit de disposer de ressources pour alimenter notre option stratégique qui consiste à transformer le système éducatif au lendemain de la COVID parce que durant la COVID on a été bloqué en fermant les écoles et on s’est appuyé sur la volonté de nos enseignants qui ont produit de manière spontanée des ressources. C’est appuyer sur les opportunités dont on disposait tel que le projet du ministère de l’Éducation pour pouvoir assurer la continuité des apprentissages après la COVID monsieur le ministre a donné des orientations pour que cette dynamique soit consolidé et que ça soit formalisé« .

Inquiétudes sur les questions juridiques…

« Aujourd’hui, on a l’opportunité d’avoir un document de stratégie qui permet de nous accompagner avec l’expertise de l’UNESCO pour que cette politique de formalisation puisse avoir des repères et des orientations qui nous permettent de faciliter la disponibilité des ressources de qualité et des ressources qui sont vraiment adaptées à notre contexte et à nos réalités du pays. En termes de difficulté…, les acteurs ont émis beaucoup d’inquiétudes sur les questions juridiques notamment sur la question des licences parce qu’on a une politique d’éditoriale nationale qui a comme base la préférence nationale« , soutient-il.

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