Système éducatif : « Aucun enfant au Sénégal ne devrait être laissé en rade… »

Selon Mamadou Ndoye, « sans démocratie participative, partenariats croisés et gestion axée sur les résultats entre autres, il serait difficile au système éducatif de prétendre à une gouvernance dynamique« . A l’occasion d’un panel dans le cadre du forum politique de haut niveau sur le Groupe national des partenaires de l’éducation et de la formation, il est revenu sur la nécessité de la déconcentration… des politiques nationales.

Pour une meilleure appropriation…

Pour l’ancien ministre de l’Alphabétisation, « le secteur de l’éducation est appelé à apporter des réponses à des problématiques telles que la démocratie participative, les partenariats croisés et la gestion axée sur les résultats, pour arriver à une meilleure gouvernance… La déconcentration et la décentralisation des politiques nationales pour une meilleure appropriation, comptent également parmi les problématiques pas encore résolues, qui limitent les performances du secteur« .

« Aucun enfant au Sénégal ne devrait être laissé en rade…« 

Il poursuit : « En matière de démocratie participative, le premier enjeu c’est la définition des priorités dont la problématique principale devrait être l’inclusion sociale… Lorsque divers secteurs de la société participent à l’élaboration des politiques, celles-ci devraient être équitables et inclusives parce que l’ensemble de ces secteurs luttent pour que leurs intérêts puissent être pris en compte… Autrement dit, si c’est suffisamment représentatif, aucun enfant au Sénégal ne devrait être laissé en rade et hors du système. Il y a trop d’enfants hors du système, et cela devrait être la première priorité de tout le monde, mais je constate que ce n’est pas le cas… La participation démocratique à l’élaboration des politiques devrait faire de cette question la première priorité. »

La pertinence des programmes…

Aussi, selon l’ancien patron des « jalarbistes », « les partenariats croisés ont pour enjeu principal la pertinence des programmes. Les représentants du secteur devraient avoir à cœur de faire en sorte que les apprentissages répondent aux besoins de l’économie et de la société et en assurent la pertinence… Cette perspective nécessite la présence des employeurs dans l’élaboration des politiques d’éducation et de formation, en vue d’arriver à une efficacité externe plus importante au Sénégal et à un renforcement de l’employabilité des produits de l’école…« 

1 COMMENTAIRE
  • Malick Diallo

    toutes les systeme doivent etre revu nous tres enretard le peux de monyens que nous avont pour faire face pour leduction il est detournait a des fins politico politiciennnes les politique francement ont tout detruis il faud que nos systeme change celons monsieur soncko de 1960 a maintenant ont nas un mauvais systeme le senegal a besoins dune table ronde implicant toutes couche sociale pour pouvoire rebondire ont tous le monde sur la case de depart avant quil sois trop tard nos president apres leurs mandat il vont habiter en europe avec leur famille il sont tout prepare

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