Senego TV: Akhlou Brick Paradise des cœurs à prendre… ? La réponse surprend…

Dans le monde show buzz on ne peut pas faire « l’unanimité », Akhlou Brick Paradise non plus ne fait pas l’exception.

« Sama Logo », nouveau clip des jeunes rappeurs Mbourois, à peine sorti,  suscite déjà  polémique. Mais l’histoire remonte en 2016, avec le tube, « Béni Aliliua ». A l’époque, les  détracteurs de « Paradise » brandissaient la franc-maçonnerie pour déstabiliser l’esprit de ces jeunes talents. Et la même phrase revient avec « Sama Logo ». Senego pose le débat avec Ara et Dayza  dans les locaux de la rédaction.

Sapés comme jamais, le style gentleman à l’honneur,  Arra et Deyza respirent la force et  débordent beaucoup  d’énergie  malgré l’agenda trop chargé par les concerts et autres arbres de noël.

Et Dayza de nous présenter « Sama Logo Bi  »

« C’est notre marque, à l’image des stars internationales,  nous voulons porter notre propre produit. Pour ceux qui soutiennent des argument fallacieux sur le design « Sama Logo », c’est juste l’initiale de mon nom et celle de Arra »,   tonne t-il avant d’jouter:  « Nous sommes des musulmans, de  surcroît  Talibés de Mawlana Cheikh Ibrahima Niass, donc ces arguments ne tiennent pas la route. »

Le sourire  aux lèvres,  Arra exprime tout son charme avec  la bague au doigt, prétexte pour soulever une autre question, celle de leur vie privée.

Ces jeunes sont-ils des cœurs à prendre ?

La question fait rire dans un premier temps, mais sans hésitation, Arra et Dayza tentent  d’apporter une précision de taille:

« Nous  sommes en couple, mais avec notre travail, notre éducation,  nos femmes doivent être exemplaires à l’image d’une femme ‘parfaite’, une femme forte, ouverte, humble et compréhensible. » 

Visiblement Ara et Dayza ont beaucoup de choses en commun d’où leur complicité qui se traduit par des chiffres…Retenez par là les nombres de vues des vidéos du groupe sur la toile.

A cœur ouvert, ces socles du Hip hip reviennent sur beaucoup de sujets comme leurs relations avec les artistes, les autorités, entre autres…

Suivez l’interview…