Sedima : le géant de l’aviculture sénégalaise va-t-il tomber entre les mains des étrangers ? Nos dernières infos
Le groupe SEDIMA, leader de l’aviculture au Sénégal, a récemment entamé des discussions en vue d’une ouverture de son capital à des investisseurs privés, sénégalais et internationaux. Cette démarche, stratégique pour son développement, vise à consolider sa position sur le marché tout en préparant son expansion à l’échelle continentale et mondiale.
Des négociations en cours pour un nouvel élan
Selon des sources proches du dossier, des pourparlers sont en cours entre la famille Ngom, propriétaire du groupe, et des investisseurs potentiels. Cependant, les détails sur la répartition du capital, notamment la question d’un éventuel maintien de la majorité par la famille Ngom, restent confidentiels.
Malgré ces initiatives, la direction de SEDIMA a tenu à dissiper tout malentendu : il ne s’agit en aucun cas d’une vente intégrale de l’entreprise. Dans un communiqué relayé par le journal L’AS, le groupe a réaffirmé qu’il demeure un patrimoine sénégalais et que cette ouverture de capital s’inscrit dans une dynamique de croissance et d’adaptation.
Des informations récentes laissent entendre que Babacar Ngom, fondateur de SEDIMA, envisage de céder une partie du groupe à Seaboard, une multinationale américaine opérant déjà dans le secteur agroalimentaire en Afrique. Ce partenariat éventuel pourrait offrir de nouvelles opportunités, bien que les discussions soient encore en cours.
Intérêts marocains et vision d’une multinationale africaine
Le groupe a également confirmé que des investisseurs marocains ont manifesté leur intérêt, renforçant l’idée que SEDIMA est à un tournant stratégique. L’entreprise, consciente de ses limites financières et structurelles actuelles, ambitionne de devenir une multinationale africaine.
Enfin, la direction a assuré que les intérêts des employés et des partenaires restent prioritaires dans cette transformation. « Les collaborateurs et parties prenantes resteront au cœur de chaque démarche », précise le communiqué officiel.
Cette situation met sur la table la question de ses fonds de campagne.
Aurait elle battu campagne avec la tirelire de l’entreprise ?
La situation actuelle de la boîte pourrait en être une suite logique..
Erreur ne pourrait être plus grave car les salariés de l’entreprise paieraient les dégâts collatéraux des fantasmes politico politiciens de la boss.
Le chef des patriotes lui il a quoi…
Je m’attendais à ce qu’elle soit la Dangote de l’aviculture mais elle aurait craqué.
Alors là Chère Anta vos ambitions présidentielles risquent d’en pâtir.
Si vous n’êtes pas capable de tenir la baraque familiale toute seule, on ne pourra jamais vous confier le bateau .Sénégal.
Faire des résultats toute seule était la meilleure façon de charmer les sénégalais. Désolé chère Anta cette ouverture du capital n’est pas une bonne communication politique et en plus des noms sénégalais ne sont mentionnés nulle part alors qu’il y a beaucoup d’autres capitaines d’industrie . Je retire ma carte