Samuel est extrêmement deçu par la décision de la Cour suprême qui a confirmé le verdict de la Crei contre Karim Wade. L’éternel wadiste a laissé parler son coeur dans sa page Facebook.
“ Quand dans un royaume, il y a plus d’avantages à faire sa cour qu’à faire son devoir, tout est perdu», Montesquieu (1689-1755). En vérité, il y a de quoi se désoler de notre Démocratie et de l’Etat de Droit au Sénégal. Commettre l’injustice n’est-il pas pire que la subir ? Nous sommes déçus par ce verdict, car nous avions cru, qu’au moins, quatre (04) des recours déposés par les avocats de Karim Wade allaient être acceptés par la Cour suprême qui aurait, ainsi, sauvé la face de la Justice, mais que non. Et en réagissant ainsi, la Cour suprême nous conforte à constater l’absence de l’Etat de Droit au Sénégal”.Ayant compris que la Cour suprême a apporté une réponse politique à notre question de Droit, nous répliquerons par des réponses politiques, exactement comme elle l’a fait, pour ne pas dire, à l’aune de l’attaque… Et c’est notre fort. Qui ignore la pertinence des idées du Pds et de son Fondateur, Me Abdoulaye Wade, depuis 1974 ? En effet, « si un homme échoue à concilier la Justice et la Liberté, alors il échoue à tout »- Albert Camus (1913-1960). Et pour nous éviter cela, rompons les chaînes de consentement qui sont les vraies chaînes, et disons non à la dictature !”, écrit Samuel Sarr, membre du Comité directeur et du Secrétariat national du Parti démocratique sénégalais (Pds).