« Rien ne pourra enrayer la marche de Gaza vers la liberté, même l’Israël… » (Cheikh Ibrahima Diallo)

Depuis des années, le peuple de Gaza est soumis à des conditions de vie déplorables. L’occupation israélienne a entraîné la destruction de nombreuses infrastructures, la privation d’eau potable, de nourriture et de soins médicaux. Les Gazaouis vivent dans un véritable blocus, qui les empêche de se déplacer librement et de commercer avec le monde extérieur.

Malgré ces conditions difficiles, les citoyens de Gaza ont gardé intact leur désir de liberté et de dignité. Ils ont su préserver leur culture et leur patrimoine, malgré les tentatives de l’occupant de les effacer. Les artistes, les écrivains, les musiciens, se sont imposés comme des combattants de la liberté, refusant de se laisser abattre et de se soumettre à l’obscurantisme.

Pourtant, certains individus, animés par un fanatisme destructeur, se sont orientés vers l’obscurantisme et ont cherché à imposer leur vision du monde à tous les Gazaouis. Ils ont voulu exclure tous ceux qui ne partagent pas leur vision fondamentaliste de la religion et de la société, allant jusqu’à utiliser la violence et la terreur pour y parvenir.

Face à cette menace, les Gazaouis ont su se dresser, refusant de se laisser intimider, de renoncer à leur liberté de penser et d’agir. Ils ont compris que la diversité culturelle était une richesse, une chance de pouvoir s’enrichir des autres, d’apprendre et de grandir.

L’occupant israélien, conscient de la force de résilience des Gazaouis, tente de démolir cette volonté, en bâtissant des murs et en érigeant des barrières, faisant tout pour empêcher les contacts et les échanges avec l’extérieur.

Mais rien ne pourra enrayer la marche des Gazaouis vers la liberté, vers une renaissance culturelle diversifiée, qui fera honneur à l’humanisme. Ils ont su montrer leur amour pour la vie, leur force de caractère et leur résistance inébranlable. En marchant sur ce chemin escarpé, ils ont montré au monde entier que la détermination est la clé de la liberté.

Par Cheikh Ibrahima Diallo, PJD