Le président américain Donald Trump a signé ce mardi 16 décembre une nouvelle proclamation présidentielle élargissant les restrictions d’entrée sur le territoire des États-Unis. Trente neuf (39) pays sont concernés. Pour la première fois, le Sénégal figure sur cette liste, aux côtés de nombreux pays africains. Cette mesure, justifiée par Washington au nom de la sécurité nationale, entre en vigueur le 1er janvier 2026.
Restriction totale
La proclamation maintient les interdictions totales pour 12 pays déjà visés (Afghanistan, Birmanie, Tchad, République du Congo, Guinée équatoriale, Érythrée, Haïti, Iran, Libye, Somalie, Soudan et Yémen). Elle ajoute des restrictions complètes pour sept nouveaux pays ou entités : Burkina Faso, Laos, Mali, Niger, Sierra Leone, Soudan du Sud et Syrie, ainsi que pour les détenteurs de documents de voyage de l’Autorité palestinienne. Au total, 19 pays sont touchés par ces restrictions totales.
Restriction partielle
Par ailleurs, 15 pays supplémentaires, dont le Sénégal, font l’objet de restrictions partielles : Angola, Antigua-et-Barbuda, Bénin, Côte d’Ivoire, Dominique, Gabon, Gambie, Malawi, Mauritanie, Nigeria, Tanzanie, Tonga, Zambie et Zimbabwe. Cinq (5) pays figuraient déjà dans la liste antérieure : Burundi, Cuba, Togo, Venezuela. Le Turkménistan était aussi dans cette catégorie initialement, mais ses restrictions ont été modifiées (allégées pour les non-immigrants) par la nouvelle proclamation. Ce qui fait un total 20 pays touchés par ces restrictions partielles.
Ces restrictions partielles suspendent l’émission de visas tourisme et affaires (B-1/B-2), étudiants et échanges (F, M, J), ainsi que la plupart des visas immigrants. Les autres visas (travail qualifié, par exemple) verront leur durée de validité réduite.
Le cas du Sénégal
Le Sénégal n’avait pas été concerné par ces interdictions, le pays intègre aujourd’hui la liste pour la première fois. Selon le rapport du Département de la Sécurité intérieure (DHS) cité dans la proclamation, le Sénégal affiche un taux de dépassement de séjour de 4,30 % pour les visas B-1/B-2 et de 13,07 % pour les visas étudiants/échanges (F, M, J). Des chiffres considérés comme élevés par Washington, malgré une coopération sécuritaire généralement saluée entre Dakar et les États-Unis.
En conséquence, l’entrée aux États-Unis des ressortissants du Sénégal en tant qu’immigrants et en tant que non-immigrants titulaires de visas de tourisme, affaires, études et échanges culturels et professionnels est suspendue. Les agents consulaires réduiront la durée de validité de tout autre visa de non-immigrant délivré aux ressortissants du Sénégal dans la mesure permise par la loi, indique la maison blanche.

Merci d’appliquer la reciprocité comme l’a dit le PM
Alioune yaw loy wakh nii demandez au noir de retourner en Afrique… Ce qui veut dire leur demandez d, entrer en enfer… Foutaise totale qu, est ce qu, il y, a de bon en Afrique rien du tout… Seulement saleté tilime impolitesse réw khamadi domérame yeug sa bopp
.. Afrique foutaise totale
Ont cherche quoi a USA ? C’est plus impossible de réussir là-bas de toute façon
ÇA N,ENGAGE QUE VOUS :APRES QUE NOS ANCÊTRES ONT CONSTRUIT L,AMERIQUE MAINTENANT VOUS POUVEZ EGOÏSTEMENT NE PAS NOUS ACCEPTER CHEZ VOUS .NOUS DEMANDONS AUX NOIRS AMERICAINS DE RETOURNER EN AFRIQUE POUR Y INVESTIR.