Le maire de Thiès, Talla Sylla a analysé les mesures mises en œuvre dans le cadre de la lutte contre la pandémie du coronavirus. Et c’est pour asséner ses vérités à certaines autorités coupables d’avoir contribué à propager le virus.
Si la maladie continue de se propager, c’est par la faute de certaines autorités, regrette Talla Sylla. C’était au détour d’une émission dédiée à la lutte contre le Covid-19 à Thiès.
« Personne dans ce pays ne peut affirmer qu’il n’est pas au courant des mesures prises pour freiner l’épidémie de coronavirus. » Mais, regrette-t-il, « si la maladie continue de se propager, c’est par la faute de certaines autorités ».
Selon lui, le président de la République aurait fait ce qu’il devait faire dès le départ, notamment, les mesures phares annoncées dans son message à la Nation du 14 mars 2020. Mais à ses yeux, la mise en œuvre est du ressort de ceux qui sont estampillés autorités.
Cependant sur le terrain, il affirme qu’il y a énormément de manquements et on est même tenté de dire qu’il y a une certaine complicité de ces autorités, dans le non-respect des recommandations édictées. C’est pourquoi des gens continuent de voyager comme si de rien n’était, au vu et au su de tout le monde.
Selon lui, si les conducteurs de Jakarta réussissent à transporter des gens de ville en ville, c’est parce que quelque part, il y a une complicité. Talla Sylla rappelle par ailleurs qu’avec les autorisations annoncées suite à l’état d’urgence, il avait écrit au président de la République pour attirer son attention sur le fait que les déplacements favorisent la propagation de la maladie et qu’en autorisant à des gens de le faire, on leur donne en même temps un cadeau empoisonné.
Il note qu’à l’époque, seules 3 régions étaient touchées, mais aujourd’hui, le virus a pratiquement cerné le pays avec 11 régions infectées sur 14.
Yaw doul fatè ngua marteau yi
talla sylla a raison ya de lindicipline carectèrìsè ya des gens qui aide pas le prèsidentde la republique ya certainnes chef relieusieux qui meritent la cravache ces des gens qui revelent des carectaires socialement dangereux cest une honte nule nest sensè dignorait la lois