Prévalence du Covid-19 : Le Sénégal dans le top 10 des pays à propagation inquiétante
C’était un scénario inimaginable il y a quelques semaines. Alors que le nombre de guérisons a drastiquement baissé (1 seule, ce lundi), le Sénégal est aujourd’hui classé parmi les 10 pays qui battent le record de la vitesse de contamination ces derniers jours, selon plusieurs médias du pays.
Depuis ce week-end, le Sénégal est classé 9e pays où le Covid-19 a augmenté le plus vite dans le monde. Ainsi, avec une augmentation journalière des cas de l’ordre de 10% en moyenne, le nombre de cas double chaque semaine.
D’après des observateurs avertis, si le pays continue avec ce rythme, le Sénégal sera à 1 200 cas dans une semaine et 10 000 dans un mois.
A signaler également que le nombre de lits risque de devenir un problème les jours à venir, alerte la représentante de l’Organisation mondiale de la Santé à Dakar. « Pour le moment, le taux d’occupation des lits disponibles au Sénégal est de 62%. Mais si jamais les cas augmentent, ce que je ne souhaite pas, il va falloir réviser la procédure et voir peut-être s’il y aura des cas pris en charge à l’hôpital, et pour d’autres, une prise en charge extra hospitalière. C’est des choses à discuter », a laissé entendre Lucile Imboua sur Sud-Fm.
Le probleme senegalais se resume de l’incivisme et de l’ignorance abject k les gens ont de leur propre ignorance
Autre problème c’est la prise de décision avec du retard. Il faut dès maintenant agir. Les zones à risques sont maintenant connues.il faut agir vite
Je dirais même que les déclarations de cette dame est en dessous de la réalité , et ça viendra plus rapidement que prévu , le problème sénégalais est multiple
1 ) l’illettrisme
2 ) la pauvreté
3 ) la famille nombreuse
4 ) les religions , car au Sénégal il n’y ‘ a pas une religion , il n’y en a pas deux , il n’y’ en a pas trois , mais des dizaines , chaque confrérie est une religion à part .
5 ) la politique et les politiciens professionnels et amateurs qui tirent dans tous les sens .
Mettez tous ça dans un shaker , secouez très fort et servez le bordel que nous constatons au Sénégal , avec tout ça ne vous étonnez pas ça va venir naturellement .
Non madame on n est pas dans le top10.
Ici on fait des tests par rapport aux autres pays où on fait presque pas de tests. Je ris quand je vois des pays déclarés 1 pu 2 cas.
Mr Diop vous avez raison.Si les cas du Sénégal sont connus c’est que votre pays à eu le courage de dire quotidiennement la vérité des cas contrairement certains voisins qui non seulement ne communiquent jamais le nbre de cas car cachent la poussière sous le tapis et se permettent même de dire qu’il n’y a plus de cas dans leur pays sans test. Que dieu nous protège et aidons nous.
@Diop et Zal : on s’en fou si les autres donnent le nbr exacte ou pas , nous avons chez nous des gens qui ont affirmé que le virus n’entrera pas au Sénégal et d’autre qui nous ont promis sa fin , arrêtons ces blablas inutiles ce qui nous intéresse c’est notre pays , c’est là où vivent nos familles , même si nous souhaitons au monde entier de s’en sortir avec moins de dégâts possible , que celui qui veut mettre sa poussière sous le tapis le fasse , mais nous si on nous dit : faites gaffes à nous de prendre les précautions pour faire , très très très gaffe c’est tout si on nous dit vous avez 100 pensons qu’on a 1000 et disons qu’il suffit , voilà le comportement qu’on doit adopter et pas dénoncer celui qui cache . Faites tous attention à vous même , à votre famille et à vos voisins , bon courage à tous .
On nous aussi parlé de « l’exception sénégalaise » dont on s’est trop vite vanté. Malheureusement l’exception est en voie de devenir un cauchemar. Qu’Allah nous vienne en aide sinon avec le nombre dérisoire de lits d’hospitalisation nous allons droit à la cata. Le potentiel en soins intensifs nous n’osons même pas y penser.
On a organisé des festivals, on a investi dans des éléphants blancs 5els que le TER, Stades à centaines de milliards, on a évacués des malades à coups de dizaines de milliards et jamais dans la santé et l’éducation comme il le fallait. Le peu de ressources consacrées à ces secteurs est capté en bonne partie par des syndicats politisés aux leaders inamovibles et milliardaires comme le personnel politique.