Population/Développement : Mously Diakhaté et les parlementaires plaident pour une santé pour tous

L’hôtel Novotel de Dakar a accueilli ce lundi matin, un atelier du réseau des parlementaires pour la population et le développement (RPPD) sous la houlette de l’honorable Mously Diakhaté (coordonnatrice) portant sur un dialogue thématique national sur la conférence internationale sur la population et le développement (CIPD), la couverture sanitaire universelle (CSU), égalité des sexes avec l’appui de l’OMS et EPF.

 » (..) accélérer les progrès et de faire de la santé pour tous une réalité. » reste l’unique objectif de la rencontre du réseau des parlementaires pour la population et le développement (RPPD) dans la déclaration faite à Dakar car  » les parlementaires ont un rôle clé à jouer en 2021 et au-delà pour lutter contre la marginalisation systématique et structurelle des femmes et des filles parce qu’elles constituent le fondement de l’économie et du développement mondiaux ; « .

Ainsi  » La couverture sanitaire universelle et en particulier les soins de santé primaires (SSP) constituent la pierre angulaire du système de santé et constituent une première étape essentielle pour parvenir à la santé, y compris la SDSR pour tous ; nous réaffirmons notre engagement à respecter la promesse du sommet de Nairobi et nous prenons note que la promotion de l’égalité des sexes nécessitera l’élimination délibérée et accélérée des obstacles systématiques et structurels pour répondre aux besoins uniques des femmes et des adolescentes, notamment en matière de procréation, de maternité, de nouveau-né, santé de l’enfant et de l’adolescent  » ajoute la déclaration

 

 

 » Beaucoup confondent genre, pensant que c’est un homme ou une femme. Le terme genre n’est ni homme ni femme, il fait référence à la société. La notion est à l’image d’une personne qui marche avec ses deux membres sans lesquels point d’équilibre pour se tenir. C’est dans cette logique qu’il faut comprendre la notion en tenant compte aussi des handicapés qui font aussi partie de la société. Ainsi il faut aussi comprendre par genre, mener une vie juste et saine. Dans le vote des budgets, tenir en compte des femmes sur toutes les échelles (santé de la reproduction, l’eau), que ce budget soit accessible au genre qui tient à l’égalité de tous. Et c’est la femme qui est cœur de la notion car souvent reléguée au second plan, selon ma compréhension de la notion. »  explique Mously Diakhaté.

 

1 COMMENTAIRE
  • Bassirou Tall

    Parlementaires you mounoul sakh binde sene tour de veritable illetres 60 ans d’independance niouye delou guinawe ni tate fene rekkkk. Di ngene kham ni deuuk diank ak kham kham mo koye dokhal de lene weure di tappale rekk.

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