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« Par quelle alchimie, des entreprises de presse pas à jour de leurs cotisations sociales, ont pu bénéficier de l’aide à la presse »

« Par quelle alchimie, des entreprises de presse pas à jour de leurs cotisations sociales, ont pu bénéficier de l’aide à la presse »

La question importante de Amadou Ba concernant l’aide à la presse. Le député, membre de Pastef, ne comprend pas comment des médias ont pu en bénéficier sans pour autant être à jour de leurs cotisations sociales. Dans un post Facebook, il a indiqué que les conditions d’éligibilité obligatoires ont été jetées à la poubelle.

« Parmi les 6 conditions exigées pour bénéficier du Fonds d’appui et de développement de la presse (FADP), figurent au moins 3 quasiment respectées que par très peu de bénéficiaires. En effet, pour y être éligible, l’entreprise de presse doit enregistrer les contrats de travail de ses journalistes à l’inspection du Travail ; être à jour de ces cotisations sociales à l’Ipress et à la CSS, et surtout disposer d’un QUITUS FISCAL », a-t-il rappelé et de préciser: « ces 3 exigences sont valables pour la presse écrite, presse en ligne, radios commerciales et les chaînes privées ».

« La question fondamentale, se demande-t-il, « est par quelle alchimie, des entreprises de presse, pas à jour de leurs cotisations sociales, ont pu bénéficier de l’aide à la presse? ». Amadou Ba invite à poser « les vraies et bonnes questions pour jeter les bases d’une presse renouvelée, libre et responsable ».

2 COMMENTAIRES
  • Lamine Diop

    Cette question c’est à vous d’y répondre.

  • Idy

    C’est la seule question à se poser
    Mais ça n’intéresse pas les journalistes.
    Au contraire ils s’offusquent de la publication de l’aide à la presse faisant fi des règles de transparence

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