Pape Abdou Fall a annoncé vendredi 17 janvier que la gratuité du combat devant opposé Papa Sow à Siteu de l’écurie Lansar prend fin à ce jour. Un message clairement envoyé à la presse pour les besoins de la couverture médiatique.
Que les patrons de presse se le tiennent pour dit. Pape Abdou Fall Production (PAF) a pris sa décision de taxer les entrées à la presse. Il n’a pas l’air d’y vouloir revenir. Un choix qu’il explique par les « énormes difficultés » que traverse la lutte avec frappe. « On ne va pas se voiler la face mais plutôt s’en expliquer entre nous« , a-t-il clairement déclaré, lors du face-à-face entre les adversaires du 5 avril.
15 février prochain
Le promoteur compte faire de ce face-à-face un événement d’envergure payant. « Il s’agit de payer l’entrée et non de venir simplement prendre de la place« , prévient-il aux journalistes.
14 mars
A l’occasion de la date du 14 mars, le parrain (Mame Boye Diao) du combat sera présenté au public. Pape Abdou Fall dit d’en vouloir faire un événement, parce qu’il s’agit de la deuxième édition. Non sans rappeler que le patron de Impôts et Domaines est « un ami, un frère avec qui il partage tout« .
Les 25 et 26 mars
Le 25 mars est uniquement retenue pour l’Open press du pensionnaire de l’écurie Lansar, Siteu. Cet événement est aussi commercialisé, dit M. Fall. Il ajoute que ce sera un événement culturel où le lutteur sera avec sa famille et ses supporters.
Et, le 26 mars, ce sera autour de l’ancien pensionnaire de l’écurie Fass. L’open press de Papa Sow, souligne Pape Abdou Fall, est aussi commercialisé. « Ce sera un événement culturel et l’innovation, c’est que c’est nous organisateurs, qui allons choisir le lieu de l’open press« .
Que se passera-t-il pour le 3 avril ?
Sinon, il est prévu un plateau de veille de combat où techniciens et experts de la lutte vont se retrouver à l’arène nationale. « Il a été constaté qu’à chaque combat, la presse me demandait des accréditations. Ça y est pour ce combat ! Cela ressort de mes prérogatives et de mes responsabilités. C’est à moi de choisir qui accréditer. Il n’y a pas de pression à mettre sur moi, parce que la pression n’aura pas de place (…)« , prévient-il.