Ousmane Sonko raconte son altercation avec Mberry Sylla: « Doumeu nako futti nako, fékéwul séance bi »

L’Assemblée nationale a été ce vendredi matin le théâtre d’une chaude explication entre le leader de Pastef, Ousmane Sonko et le député Mberry Sylla. En marge de la séance, Ousmane Sonko est revenu sur la scène.

 

« Comme vous le savez, ma bagarre avec Mberry Sylla, c’est aussi une forme de terrorisme. Si je ne suis pas régulier au niveau de cette Assemblée nationale, c’est à cause de ces insultes, ces injures. Mais j’avais toujours pensé que cela peut passer. Nous sommes tous des responsables. Et ici dans cette Assemblée nationale, ils ne sont pas nombreux à avoir des ambitions comme les miennes. Et ce qui m’oblige à éviter certaines choses. Je ne peux pas abandonner le mandat de député, car c’est le peuple qui me l’a confié. Mais je ne vais pas accepter qu’on s’attaque à ma personne. Ils ont reçu des ordres et doivent me provoquer à chaque fois que je pose les pieds ici. Ainsi, les Sénégalais diront que Sonko s’est battu à l’Assemblée. Ils peuvent m’insulter, me taxer de tout « , a-t-il expliqué.

A en croire le leader de Pastef, l’intimidation ne passera pas. Et ce qu’il a montré ce vendredi n’est qu’un message. «  Celui qui tente de m’attaquer physiquement, il me trouvera sur son chemin. Leur spécialité c’est de recruter des nervis. Ce monsieur m’a toujours menacé et aujourd’hui, il est passé à l’acte. Dieu a fait que je l’ai bastonné. Je l’ai tabassé et même déshabillé et il n’a même pas eu le temps d’assister à la séance. Cela n’a jamais été mon but, mais c’est un message que je tenais à envoyer. Personne n’a le monopole de la violence « , a-t-il ajouté.

Regardez

31 commentaires

  1. Aicha

    Cette violence répétée nous dérange vraiment et nous fait réfléchir désolée mais les violents on en veut pas et les insultes répétés non plus merci

  2. un passant

    Cela veut qu’il n’a plus son mal de dos qui le suit depuis son jeune âge, et que sa tante massait avec une graisse de je-ne-sais quoi. Sonko, une vraie machine à mensonges.

  3. Abdoulaye Ndiaye

    Ne chantes pas victoire il aura été jeune comme toi mou todj-ssa lou bone imbécile

  4. Alioune Badara Ndiaye

    Imature Sonko, tu ne mérites même pas d’être à la tête de ce pays, je suis désolé

  5. commando invisible

    honte a sonko tabasser un vieux loolu moy sa dam ñakka jom monsieur trois V, violences, vole et viol

  6. DIOLA

    WAKHI KHALE WAKHI IRRESPONSABLE , WAKHI AVENTURIER , WAKHI KOU NIAK FAYDA , AK WAKHI DOF

  7. Bamba

    Futti mome tu es le meilleur yaw rek si khale futti kou weddi ladial adji sarr mingua sodomise????????????

  8. djimbe city

    ce mec c un mec violent sa se voit un opposant qui ne peut supporter les attaques s’il deviens président il fera quoi ses opposants sonko c un djihadistes radicale très méchant

  9. Dina

    Quand on est à cours d’arguments la bagarre reste la seule alternative pour masquer ses manquements ainsi détourner le public de l’essentiel
    Mais quelque soit leur stratégie ils partiront inchallah.

  10. Sakhewar

    Faux!on a vu la scène et en plus on commence a voir toute ta haine homme violent comme toujours

  11. bibi

    ton handicap est que tu aimes la violence, pour gouverner un pays, il faut être serein.

    • Manu

      Hypocrite que tu es. Donc si on vous attaque physiquement, tu croisent les bras et te laisser humilier.

      • Ousmane Senghor

        sonko tu a menti on n’a vue la bataille c’est lui qui a tapé quand tu la donné un coup d’épaule même sa montre que tu est irresponsable ne demande plus notre pays sauvage

  12. Badou

    Abdoulaye Wade a vécu pire a l’assemblée nationale. Il a fait face sans se battre sans insulter

    • Momo

      Mais personne ne l’a attaque physiquement. Soyer digne de dire la verite. Si on vous attaquait physiquement tu n’allais pas rester les bras croises.
      Vous etes de vrais hypocrites

  13. Rakhou

    C’est cet esprit enfantin qui veut gouverner le pays de Léopold Sedar Sénghor ? Le Sénégal mérite mieux

Comments are closed.