Ouakam : Libéré du centre Kara, un ex pensionnaire bastonne sa mère

Un ex-pensionnaire du centre de redressement Kara sécurité de la zone B, libéré récemment après le démantèlement, regagne ainsi son domicile, mais son comportement quelques heures après, surprend tout le monde.
Furieux, il s’en est pris à sa génitrice qui l’avait mis en pension à Kara Sécurité, la battant violemment. Source A, qui donne l’information, précise que les fait se sont déroulés à Ouakam. Une bastonnade de sa propre mère, qui semble donner du crédit aux rumeurs qui disent que certains des anciens pensionnaires de ces centres de redressement sont des fous furieux.
C’est ça leur REDRESSEMENT !
C’est ça leur REDRESSEMENT
Un malade sortie d’hospitalisation avant d’être guéri, vas rechuté tôt ou tard!!!!
j’ai mal pour mon pays.
C’est la faute de l’Etat seul mais pas de personnes d’autres
Tout à fait..du jamais vu..un État qui dispose d’une direction nationale dépendant du MJ pour s’occuper des jeunes à comportement problématiquer (DESPS) qui a des centres d’adaptation partout au Sénégal (centre fermé, centre ouvert et semi-ouvert) a une prison pour jeunes délinquants (FORT B) et des prisons pour adulte..fermer les yeux sur des centres tenus pas des non professionnels..qui bagfoie les oits humains les plus élémentaires…il faut être au Sénégal pour le faire…Que Dieu sauve ce pays
Peut-être en veut-il à sa mère de l’avoir envoyé dans un tel bagne, où règne une terreur pire que les camps de concentration d’Hitler
Bonne piste…
Jusqua battre sa mere come on
Reflechissez avant de parler
Biri, comment peux-tu être aussi bête pour parler comme ça ?
FRANCHEMENT IL N’A RIEN COMPRIS.
IL NE SAGIT PAS QUE DE FAIRE DES ENFANTS.
LA PRISE EN CHARGE EST PARENTALE.
C’EST UNE OBLIGATION.
LA PREUVE QUE CE CENTRE EST UN ÉCHEC,SI ON Y REVIENT POUR COMMETTRE CES FAITS.
IL FAUT PAS SE DÉROBER DE NOS RÔLES DEVANTS NOS ENFANTS.
Juska battre sa propre mère yaw esk degue nga lingay wah
franchement tu es ignoble, tu trouves cela comme une justification d’un tel acte, maudit soit tus
Peuteyre
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