La République des Valeurs/Réewum Ngor a publié un communiqué intitulé « La Mafia au cœur du système de l’assainissement », dénonçant un scandale impliquant le Directeur Général de l’ONAS et le ministre de l’Assainissement. Selon le communiqué, les justifications fournies sont insuffisantes, et les méthodes utilisées pour attribuer les marchés sont suspectes. Les camarades de Thierno Alassane Sall appelle le Président de la République et le Chef du Gouvernement à respecter leurs engagements en matière d’équité et de justice.La crise actuelle met en lumière la nécessité de vigilance face à la gestion publique. Les Sénégalais, déjà marqués par des traumatismes, ne peuvent accepter des accusations sérieuses de mauvaise gestion sans obtenir des explications claires.
La République des Valeurs/Réewum Ngor a publié un communiqué intitulé « La Mafia au cœur du système de l’assainissement », dénonçant un scandale impliquant le Directeur Général de l’ONAS et le ministre de l’Assainissement. Selon le communiqué, les justifications fournies sont insuffisantes, et les méthodes utilisées pour attribuer les marchés sont suspectes. Le groupe de Thierno Alassane Sall appelle le Président de la République et le Chef du Gouvernement à respecter leurs engagements en matière d’équité et de justice.
La crise actuelle met en lumière la nécessité de vigilance face à la gestion publique. Les Sénégalais, déjà marqués par des traumatismes, ne peuvent accepter des accusations sérieuses de mauvaise gestion sans obtenir des explications claires.
L’affaire en question, concernant l’attribution controversée de marchés publics à l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS), révèle une tentative inquiétante d’étouffer la vérité. Ce scandale suggère que, malgré les changements de régime, les pouvoirs publics continuent de mépriser les difficultés des citoyens tout en s’engageant dans des rivalités personnelles pour des avantages.
L’intervention du ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement dans l’attribution des marchés publics par l’ONAS est illégale. En tant qu’établissement public à caractère industriel et commercial, l’ONAS jouit d’une autonomie de gestion selon la loi n° 96-02 du 22 février 1996. Le ministre Cheikh Tidiane Dièye n’a pas le droit d’interférer directement dans ces procédures. Seul le Comité de Règlement des Différends (CRD) de l’ARCOP peut suspendre une procédure de passation de marché.
De plus, le ministre n’avait pas l’autorité pour sélectionner des entreprises pour une attribution directe. Les arguments pour justifier ces choix, y compris la formation d’une commission mixte, sont contraires à la législation. La sélection des entreprises VICAS et DELTA est d’autant plus douteuse en raison de leur passé problématique sous la direction précédente de l’ONAS.
Les affaires antérieures montrent que VICAS et DELTA ont déjà été sanctionnées pour des irrégularités. L’ONAS, sous la direction de M. Lansana Gagny Sakho, avait ignoré des décisions judiciaires concernant ces entreprises, permettant ainsi la poursuite de pratiques douteuses.
Il est légitime de se demander pourquoi M. Dièye a pris la place de l’ONAS dans ce dossier. Les justifications sont insuffisantes et les processus de sélection des entreprises sont suspectés de fraude. Il est crucial que le Procureur de la République enquête avec la plus grande rigueur pour restaurer la confiance dans la justice et garantir une gestion transparente des ressources publiques.
Ainsi, il est essentiel pour Thierno Alassane sall et Cie, d’instaurer une culture de rigueur et d’intégrité dans l’administration publique pour éviter de telles dérives à l’avenir. Aussi appellent-ils le président de la République et le chef du Gouvernement à respecter leurs engagements en matière d’équité et de justice.
L’affaire en question, concernant l’attribution controversée de marchés publics à l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS), révèle une tentative inquiétante d’étouffer la vérité. Et TAS de dire que ce scandale suggère que, malgré les changements de régime, les pouvoirs publics continuent de mépriser les difficultés des citoyens tout en s’engageant dans des rivalités personnelles pour des avantages.
L’intervention du ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement dans l’attribution des marchés publics par l’ONAS est illégale. En tant qu’établissement public à caractère industriel et commercial, l’ONAS jouit d’une autonomie de gestion selon la loi n° 96-02 du 22 février 1996. Le ministre Cheikh Tidiane Dièye n’a pas le droit d’interférer directement dans ces procédures. Seul le Comité de Règlement des Différends (CRD) de l’ARCOP peut suspendre une procédure de passation de marché, lit-on entre autres.
De plus, avance le communiqué, le ministre n’avait pas l’autorité pour sélectionner des entreprises pour une attribution directe. Les arguments pour justifier ces choix, y compris la formation d’une commission mixte, sont contraires à la législation. La sélection des entreprises VICAS et DELTA est d’autant plus douteuse en raison de leur passé problématique sous la direction précédente de l’ONAS.
Les affaires antérieures montrent que VICAS et DELTA ont déjà été sanctionnées pour des irrégularités. L’ONAS, sous la direction de M. Lansana Gagny Sakho, avait ignoré des décisions judiciaires concernant ces entreprises, permettant ainsi la poursuite de pratiques douteuses.
toutes choses qui font qu’il est légitime pour la RV de se demander pourquoi M. Dièye a pris la place de l’ONAS dans ce dossier. Les justifications sont insuffisantes et les processus de sélection des entreprises sont suspectés de fraude. Il est crucial que le Procureur de la République enquête avec la plus grande rigueur pour restaurer la confiance dans la justice et garantir une gestion transparente des ressources publiques.