Musique, danse, mode : Une trentaine de jeunes formés dans l’entreprenariat des cultures urbaines…
Une trentaine de jeunes sénégalais sont initiés dans le cadre d’une formation en ligne dans le domaine l’entreprenariat des cultures urbaines, a-t-on appris des initiateurs de ce projet.
Le programme lancé à la Maison des cultures urbaines de Ouakam (Dakar) est initié par une structure dénommée ”Académie des Arts et de la Culture” et vise à ”les préparer à concrétiser leurs idées et à lancer leurs propres projets”, poursuit la même source.
“Cette formation développée dans le cadre du programme ‘’Cultures urbaines digitales’’ est lancée pour préparer les jeunes évoluant dans les musiques urbaines à concrétiser leurs idées et à lancer leurs propres projets’’, a déclaré, samedi, François Catala le co-fondateur de l’Académie des Arts et de la Culture.
‘’cette formation est dédiée non seulement aux passionnés des cultures urbaines, des artistes et entrepreneurs, mais aussi à ceux qui souhaitent enrichir leurs compétences et savoir-faire, dans la musique, la danse, la mode, l’entrepreneuriat culturel en général’’, dit-il.
Le projet est soutenu par l’Institut français de Dakar et l’Ambassade de France au Sénégal, dans le cadre du programme ”Création Africa”.
Accessible en ligne, via une application mobile, le programme de formation permet d’acquérir des ‘’compétences et connaissances essentielles pour réussir en tant qu’entrepreneur dans les cultures urbaines”, a fait savoir M. Catala.
‘’Une équipe d’experts sénégalais et franco-sénégalais a été mobilisée pour dispenser cette formation à des jeunes sélectionnés après un appel à candidatures qui a été lancé en décembre 2023’’, a-t-il ajouté.
Les candidats choisis pourront au sortir de la formation ‘’naviguer dans l’écosystème hip hop, savoir comment élaborer un modèle économique pour un projet culturel avec des outils marketing propres à ce domaine, comment générer des ressources, etc.’’, a dit M. Catala.
Avec Aps
La culture c est important y à pas à dire .
Mais la danse vraiment rien à foutre , ça n a aucun interet.
Qu ils aillent travailler ces paresseux et drogués .
C est de la grosse connerie .
Au senegal la culture c est un refuge de drogués , fumeurs de yamba, de pûtes, de soulards , de griots- quémandeurs maquereaux .
Un monde de paresseux et de parasites .
Tous ceux qui ont échoué ailleurs courent se faire artistes (chanteurs , musiciens ,danseurs , batteurs de tam-tam ,comédiens de séries de merde , peintres et sculpteurs minables , et autres petits merdeux qui se disent écrivains , scénaristes ou réalisateurs à la con , la liste est longue et intarissable .)