Me El Hadji Amadou Sall : » Dans ce pays, on utilise la justice pour faire des réglements de compte »
Au procès de ses jeunes camarades, hier vendredi, arrêtés lors des dernières manifestations du Pds et ses alliés de l’opposition à la place de l’obélisque, Me El Hadj Amadou Sall a profité de sa plaidoirie pour vider ce qu’il avait dans le coeur. «j’avais dit que nous allons organiser notre manifestation avec ou sans l’autorisation du préfet. Le Pds a décidé que dans ce pays, le Sénégal, nous ne suivrons plus les atteintes et les tribulations de l’actuel régime. On va continuer à se battre pour la défense de nos droits. On n’ira plus à la Cour suprême. Je défie l’autorité et je l’assume».
Poursuivant, l’avocat fait savoir que «jamais l’opposition n’a saisi la Cour suprême et a eu raison sur un fait au moment adéquat, on ne peut plus admettre qu’on nous interdise d’organiser une manifestation, et que la cour suprême attende 2 ans pour nous dire qu’on avait raison».
Me El Hadj Amadou Sall indique que «ce sont ceux qui interdisent qui sont les fauteurs de trouble. Ce n’est pas nous qui troublons l’ordre ce sont des incapables, je l’assume».
Le libéral déplore le fait qu’«on utilise la justice pour faire des règlements de compte» ajoutant que «c’est une façon lâche de se battre» et renchérit «j’ai le droit de parler avec mon cœur lorsque d’autres parlent avec le marteau de la lâcheté».
avec senenews
La Majorité présidentiel actuel ,utilise les appareils judiciere,pour faire des règlements de comptes envers les adversaires politique.
Surtout les partis politiques qui ont refuser de soutenir la politique désastreuses du gouvernements.
Depuis que cette majorité sont aux pouvoir rien ne marche dans ce pays.
Les denrées de premier nécessité devient de plus en plus chère,le problème de l'énergie reste toujours d'actualité est les factures deviens de plus en plus chère, les factures d'eaux ne sont pas en reste.
Pour ce qui concerne l'enseignement les étudiants sont dans l'incertitude d'avoir une année parfaite.
Les agriculteurs sont démunis de leurs moyen qu'ils savaient.
Les pauvres deviens de plus en plus pauvres,dans certains quartier de Dakar
Ils y'a beaucoup de famille qui ne mange pas à leurs faim.
La mendicité à prit de L'ampleur ,dans les coins est les recoins du pays des mendients s'installent à bord des rues,pour chercher de quoi subvenir à leurs besoins.
La république est en panne rien ne marche.
Missodjam Marseille France.
Dématal école dianguiwate avogate bou nul binga done. Yène da ngéna nafekh yagou lène fé diaugué. Lou bone linguène done deff mome lane lène di faay rek, domou kharam Yi.
« Dans ce pays, on utilisait les comptes publics pour se servir ».
Je suis parfaitement d’accord avec lui.
C’est une lâcheté de se réfugié derriere la justice pour faire des règlements de compte.
C’est indigne d’une démocratie….
mécontant que vous êtes