Manif des jeunes Guinéens à Dakar : Fadel Barro décrie la sortie du préfet Alioune B. Samb
Fadel Barro a condamné ce vendredi 23 octobre, la sortie jugée malheureuse du préfet de Dakar, sur la marche des jeunes ressortissants Guinéens devant leur ambassade. En marge de la conférence de presse des organisations de la société civile et des mouvements citoyens, le « Y’en a marriste » demande à l’autorité administrative de bien réfléchir avant de parler la prochaine fois.
Le préfet de Dakar Alioune Badara Samb n’apprécie guère les manifestations spontanées de la communauté guinéenne devant leur ambassade au Sénégal pour réclamer le respect des résultats issus des urnes lors de la présidentielle du 18 octobre 2020.
Menace
L’autorité administrative, tout en rappelant que les manifestations sur la voie publique obéissent à une déclaration préalable, menace les Guinéens d’expulsion. « Les organisateurs et participants aux manifestations spontanées de ces jours derniers, aux alentours de l’ambassade de la République de Guinée, s’exposent à lourdes sanctions nonobstant la possibilité de reconduite aux frontières pour les étrangers », a averti Samb à travers un communiqué daté du 22 octobre.
Disposition
Il ajoute que toutes les dispositions sont prises pour garantir l’ordre public.
Je ne comprends pas pourquoi les gens s’offusquent.
Partout dans le monde les étrangers qui troublent l’ordre public sont renvoyés dans leur pays.
Le préfet a rappelé la loi sénégalaise en matière de manifestations et d’occupation de la voie publique.
Si des gens avaient été blessés ou tues ,on demanderait des comptes à l’Etat.
Cette sortie du préfet est normale et correspond à ce que nous attendons d’une autorité administrative chargée de gérer un territoire.
Arrêtons de tout politiser ou de jouer au panafricaniste de salon.
Ce qui se passe en Guinée nous interpelle tous,mais c’est d’abord l’affaire des guinéens.
Merci Ils sont nombreux ici en Europe Pourquoi ils ne font pas la même chose. Ils seraient vite arrêtés et bien bastionnés jetés en prison et renvoyés dans leur bled. Il faut respecter son pays d accueil
On vous avez mis en prison quelque part pour avoir tenu une marche et n y était l intervention de votre président vous auriez subi