Libération Cheikh O. Diagne : Les précisions de Me Khoureychi au sujet des manifestants arrêtés
Me Cheikh Koureyssi Ba s’est fendu d’un post, vendredi, pour apporter des précisions au sujet des manifestants interpellés lors de la marche non autorisée pour la libération de Cheikh Oumar Diagne.
« Au Commissariat de la Médina (13 interpellés dans le violon ) l’autorité, le nouveau commissaire Sarr, a ordonné sur notre demande le transfert de Mohamed S. Diallo, blessé au moment de son évacuation, à l’hôpital Abass NDao voisin« , a d’emblée précisé l’avocat.
Un blessé léger en attente de consultation médicale
Il poursuit : « Beyna Gueye légèrement secoué pour s’être interposé en faveur de son camarade Fallou qui était malmené par un petit groupe de policiers, est également en attente de consultation médicale mais pour le moment son état de santé n’est vraiment pas préoccupant.«
10 autres interpellés
Selon la robe noire, les 10 autres interpellés dans le ressort territorial du Point E et qui avaient été entassés, depuis l’après-midi, dans le panier à salade garé dans l’enceinte de la Médina, viennent d’être conduits audit commissariat du Point E.
Décision
Me Ba précise qu’aucune décision n’a encore été prise, « s’agissant du sort réservé à ces 23 compatriotes arrêtés semble-t-il pour avoir bravé l’arrêté préfectoral d’interdiction de leur marche pacifique pour la libération de Oumar Diagne dit Cheikh et d’autres citoyens détenus…«
JE NE MARCHE PAS POUR UN INSULTEUR DES KHALIFES GENERAUX
Il faut que les policiers arrêtent cette sauvagerie. Nul n’a le droit de torturer son prochain. Il faut qu’Antoine Diome, Moussa Fall et autres responsables répondent de leurs actes dans les juridictions internationales. Badiane Macky mom lii maa guiss s’il n’arrête pas dou bakh cii mome. Que Dieu nous préserve d’un poltron ayant les moyens de l’État (police, gendarmerie et justice) et un Farba Ngom pour s’occuper de l’eau que la population boit.
Va te faire des indisplinés qui refusent de se conformer aux lois de la république n’ont aucun droit. L’état a laissé trop faire pour que des voyous pensent pouvoir dèfier les forces de l’ordre en badant des muscles avec de gros mots.