L’hommage du journaliste Ibrahima Ngom Damel à sa défunte épouse partie à jamais répondre à l’appel d’Allah

Par un poème envoyé à senego, notre confrère Ibrahima Ngom rend hommage à son épouse qui a tiré sa révérence en mars dernier. Vous trouverez dans ce texte l’expression des sentiments d’un homme esseulé, laissé dans la solitude de son amour parti à jamais répondre à l’appel du Seigneur. Vous trouverez aussi, sur chaque ligne, les manifestations d’un amour pur, le sentiment d’une perte immense d’un être cher.
(Le Poème)
La sainte journée de ce 25 Mars tira à sa fin,
J’ignorais qu’elle était, elle aussi, la fin de ton existence
Le crépuscule de ta vie,
De ta vie sur terre, cette vallée de larmes…
Quand subitement, on n’informa d’une voix étreinte d’émotion : «Elle a finalement rendu l’âme…»
La nouvelle m’étrangla de chagrin,
Dure comme un matin de gésine
Mon cœur si bigrement éploré
Je sentais la terre se dérober sous mes pieds
Je pensais être dans un rêve rêvasse
Quelle onde de choc !
Je venais de perdre ma moitié, ma mie, ma confidente et mon amie
L’être qui m’est si cher,
Ma si dévouée compagnonne si brave à me seriner la vérité
Après un séjour, seulement, de 34 hivernages
Alitée depuis des mois, tu étais si digne dans la souffrance
Les biens de ce bas-monde, tu n’en avais cure !
J’ai perdu une Référence, une Boussole
Tu étais une Amoureuse du Prophète Muhammad (S.A.W) et de son digne Serviteur Khadimoul Rassoul
Combien de fois tu me rappelais, au for de la nuit, la fugacité de la vie, ses futilités et tutti quanti … ?
Sache que là où tu dors du sommeil du juste,
Là sur cette terre bénite de Touba-La-Sainte,
Tu continues d’entrecouper mes nuits en rêves
Tu as et tu auras, sempiternellement, une grande présence dans mon cœur !
Que le Paradis d’Allah soit ta Demeure Eternelle !
Je t’aime et je t’aimerais pour toujours
L’oubli, ce second linceul des morts, ne vous enveloppera jamais !
Fatou Bintou NGOM dite Ndioufa,
Mame Diarra Bousso NGOM (nos enfants) et moi aurons une pensée pieuse pour toi, Maman Penda Diagne.
Ibrahima NGOM Damel, Journaliste
Ibrahima nous compatissons a cette grande perte k’Allah le misericordieux accueille notre chere epouse ndioufa en son paradis et t donne la force de surpassé ce grand vide
Mon cher, je voudrais t’exprimer toute ma compassion et te présenter mes condoléances attristées, en ces douloureuses circonstances. Qu’Allah Le Miséricordieux l’accueille en Son Paradis et bénisse vos progénitures !
Tres beau et emouvant poeme que le bon Dieu la porte à fordawsi
Émouvant!A quelques mots près, je pourrais écrire un hommage semblable à ma très chère mère décédée il y a un mois.
Qu’Allah l’omnipotent, le transcendant et l’immanent les accueille dans son paradis
Amine!