Au Théâtre national Daniel Sorano, les travailleurs étaient dans la rue pour un sit-in… loin des planches. Ils exigent ainsi le reversement de leurs cotisations sociales.
Ces travailleurs qui exigent plus de considération ont révélé que Soranao est géré avec « une convention collective du commerce ».
« Nous ne sommes pas des commerçants, nous ne sommes pas du privé. Nous sommes de l’Etat, c’est un établissement public », crient-ils en choeur.
Ils soulignent revendiquer un problème de budget annuel de 376 millions. Avec des cotisations défalquées mais jamais reversées à l’Ipress.
En dernière analyse, ces manifestants de Sorano comptent ressortir dans la rue si l’administration ne règle pas leur problème.