L’Union syndicale n’approuve pas les incursions de la police sur le campus et souvent même dans les amphis.
Useq constate pour le regretter, que depuis novembre 2013, la police semble avoir élu domicile à l’Ucad. Aussi, exige-t-elle, des autorités compétentes, « des mesures idoines pour stopper cette spirale de tension, susceptible de conduire à des explosions de violences ».
Par ailleurs, lit-on dans le même communiqué que l’Useq déplore la situation qui prévaut dans les universités publiques à cause notamment des retards récurrents dans le paiement des bourses. L’Useq requiert également le respect des différents protocoles d’accord signés avec les acteurs du système éducatif.
L’Useq, rappelle-t-on, est une coalition de syndicats composée du Syndicat autonome des enseignants du supérieur (Saes), de l’Union démocratique des enseignants du Sénégal (Uden), du Syndicat démocratique des enseignants du Sénégal (Sudes), du Syndicat des professeurs du Sénégal (Sypros)et du Syndicat national des enseignants de l’Elémentaire (Sneel) section Cnts.