Le Fmi à Dakar ce vendredi: Le Président Diomaye Faye va recevoir la délégation pour…
Une délégation du Fonds monétaire international (Fmi) séjournera au Sénégal à partir de ce vendredi. Une visite qui fait suite au séjour à Washington du ministre des Finances et du budget (Cheikh Diba), du ministre de l’Economie et du plan (Abdourahmane Sarr) et du ministre Secrétaire général du gouvernement (Ahmadou Al Aminou Lô). Les officiels sénégalais avaient, en effet, effectué une mission de prise de contact avec le Fmi, pour présenter les orientations de politiques économiques et financières préconisées par les nouvelles autorités du pays et voir leur adéquation avec le programme en cours signé entre le Sénégal et le Fmi. Les discussions entre les deux parties ne sont pas encore très poussées, et la mission attendue du Fmi sera mise à profit pour cela
Selon le journal Le Quotidien qui a donné l’information, la mission sera l’occasion pour les autorités sénégalaises de préciser formellement leur décision de poursuivre le programme 2023-2026, conclu avec le Sénégal et qui prévoit un décaissement total de l’ordre 1150 milliards de francs Cfa. » Pour ce faire, le Sénégal aura besoin nécessairement de s’accorder avec le Fmi sur les modalités de respect des engagements souscrits.
« La délégation du Fmi a demandé des audiences avec le président de la République Bassirou Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko. Les plus hautes autorités de l’Etat devront leur confirmer leur acceptation de poursuivre le programme. Ces rendez-vous donc vont se révéler cruciaux et propices à une grande explication. Le cas échéant, une autre mission sera envoyée par le Fmi, au début du mois de juin 2024, pour procéder à la revue du programme et préparer un deuxième décaissement au mois de juillet 2024, après validation par le Conseil d’administration du Fmi », lit-on dans le journal.
lol ce pays est une farce
Dites moi un seul pays que le FMI a permis le développement
FMI et banque mondiale les boureaux de l’afrique .
Ceux qui vendaient nos ancetres comme esclaves sont les memes deguisès comme fmi et banque mondiale. Ya que la forme qui a changè mais l’esclavage existe encore .
Tchey ma waru rek….mal conseille ce govt, ….tres mauvaise nouvelle, ce pays ne peut continuer a emprunter avec ces taux usuriers de ces banques, ….cet argent n’est pas investi pour creer de la richesse, mais, dans des budgets de fonctionnement, ..payer des depenses quotidiennes …..le Senegal doit se tenir loin de ces vautours: la BM, le FMI, la BE et la Banque de Chine, la Banque Turque, Morocaine, etc………l’urgence, c de comptabiliser les plus de 100.000 millards empruntes par le govt de Macky Sall….recuperer cette manne financiere entre les mains de grots bonnets, ce argent volatilise dans les paradis fiscaux (parmi les 11 questions de Guy M. Sagnan, j’aurai aime voir le Senegal renoncer tous ces accords signes avec les pays paradis fiscaux signes par le Govt de Macky, et exiger de ces derniers de devoiler l’identite des proprietaires des comptes ouverts entre les annees 2000 et 2024) Cette manne financiere, si elle n’est eclaircie va destabiliser ce pays! Ensuite faire un depot de bilan, renegocier les termes de ces prets ou declarer un depot de bilan de l’etat du Senegal….nul ne doit etre oblige de payer des milliards,lesquels, l’on ignore leur utilisations/presences….. ces actuels 1150 milliards que l’etat veut emprunter, est disponibles entre les mains de quelques societes, individus, gros bonnets, et al…..C l’urgence!
La clarté et la rigueur sont souhaitees
Oui ,c est ca la realite du pouvoir.
Le FMI a t’il le monopole de la finance ? Les sources de financement sont diverses et variées. Dans ce cas de figure où le financement était déjà négocié,le Sénégal n’a qu’à restructurer le financement pour le reliquat restant à implémenter.
Malheureusement les nouvelles autorités sont obligées de travailler avec ces puissantes institutions financieres, compte tenu des engagements que leurs prédécesseurs ont pris avec ces dernières.mais ces institutions n’ont jamais aidé un pays à se développer, bien au contraire.
Voilà vos vrais maîtres. Des seconds couteaux du FMI et de la BM viennent donner des directives au PR et au PM.