L’ancien Premier ministre Amadou Ba livre ses vérités aux entreprises de presse

L’ancien Premier ministre Amadou Ba s’est prononcé sur la « Journée sans presse » organisée ce mardi 13 août par le Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de Presse du Sénégal (CDEPS). Cet événement visait à protester contre les pressions fiscales exercées par l’État, notamment le blocage des comptes bancaires et les mises en demeure pour le paiement des impôts.
Amadou Ba a souligné l’importance pour les entreprises de presse de respecter leurs obligations fiscales, tout en insistant sur le rôle de l’État dans la protection des médias. Selon lui, il est impératif que ce dossier reste technique, permettant ainsi à l’administration fiscale et aux entreprises de presse de dialoguer et de trouver une solution équilibrée. Il a ajouté qu’il est essentiel que « les acteurs se retrouvent rapidement autour d’une table » afin d’éviter une escalade de la situation.
L’ancien Premier ministre a également mentionné que l’État devait explorer des moyens pour aider les entreprises de presse à survivre et à continuer leurs activités. Il a insisté sur l’importance de l’équilibre entre le respect des obligations fiscales des entreprises et le soutien de l’État pour garantir leur pérennité.
Les responsables de presse, à l’origine de cette journée de protestation, ont exprimé leur mécontentement face au manque de concertation avec l’État et aux difficultés rencontrées en raison des mesures fiscales.
une journée sans presse n’est pas une solution. il faudra tirer le bilan de cette journée sans presse.
au lieu de déclencher une journée sans presse dont l’impact est sujet à caution, le mieux c’est de dialoguer pour une solution durable et équilibrée.
aucun citoyen ni organe de presse ne peut exercer des pressions sur l’Etat afin d’échapper à ses obligations légales et morales.
Tous ces entretenus vont passer a la caisse,sinon qu ils disparaissent on s en fiche éperdument
Ce qu’il convient de faire, il l’a dit avec clarté et netteté: Il n’y a rien à y ajouter ni à y retirer.
«l’équilibre entre le respect des obligations fiscales des entreprises et le soutien de l’État pour garantir leur pérennité.»
Si l’état laisse passer cette malhonnêteté de ne pas payer l’impôt, d’autres sociétés vont leur emboîter le pas dans un à environ très proche. IMPOT DUU SÉRÉRE WAYÉH FAAYE LA SAANT
Walla PAYE la sante té dou lébbou
Il n’ya pas que les entreprises de presse dans ce pays Des entreprises naissent grandissent ou disparaissent c’est ça la loi du marché Ceux qui ne peuvent pas tenir doivent jeter le plancher pour aller investir ailleurs Nous sommes tous soumis à l’obligation de payer les impôts Ce pays a changé il faut comprendre que macky et ses complices pilleurs sont partis Il faut s’inscrire dans la gestion normale des choses et payer les impôts
Je connais beaucoup de pme et pmi qui ont disparu à cause des charges fiscale et douanière dans l anonymat complet. J ai été d un ATD ton compte est bloqué et le couteau sur la gorge tu dois transiger.
La presse aussi delicate soit sa mission doit payer les impôts et les charges sociales des travailleurs. La presse ne doit pas non plus vivre au crochet des regimes des lobbies et autre2
Ce qu’il convient de faire, il l’a dit avec clarté et netteté: Il n’y a rien à y ajouter ni à y retirer. «l’équilibre entre le respect des obligations fiscales des entreprises et le soutien de l’État pour garantir leur pérennité.»
Amadou BA a tout dit. Je suis pour que l’Etat discutent avec les entreprises de presse afin de s’entendre sue comment ces dernières peuvent survivre tout en payant le fisc. Je suis pour l’annulation d’une partie de cette dette fiscale accompagnée d’un moratoire pour le reste.
L’Etat doit aussi profiter de cette situation pour faire le grand ménage et balayer toute la saleté qui pollue l’environnement de la presse
Ta gueule imbécile yi domeram yi deuk bi yeup yeneu ko yaakh
Idiot ignorant khamo Lou Amadou BA Di whakh ferme la sa yalla deguene loumou whakh toujours prêt à insulter walakana depuis quand les idiots interviennent ?
L’idiot C’est toi. Ce Amadou Bâ et Macky Sall, n’ont jamais tenu un langage de vérité à cette pressé corrompu
il faut revenir à la raison et accepter que les entreprises de presse n’ont pas assez de revenus pour supporter cette fiscalité, meme RTS et Soleil ne paie pas. Il faut trouver un moratoire pour un paiement en douceur au lieu de bloquer leur compte, c’est pas normal
C’est extrêmement grave se qui se passe au Sénégal . Un régime change et presque toute les entreprises ont des difficultés sa se voit qu’il ne se sont jamais acquitté de leurs obligations fiscales. Je suis pour de négociation mais en moratoire raisonnable. Le népotisme a trop duré dans ce pays.
Le régime malfaisant de macky avait habitué la presse de facilités dont elle est entrain de subir les effets pervers depuis sa chute. Les problèmes que vivent présentement les entreprises renseignent sur le niveau de la corruption sous le règne satanique de macky.er de sa horde.Avec cette journée sans presse c tout simplement le mensonge,la délation et la désinformation qui prennent une pause bienfaitrice pour le pays
Ces patrons de presse vont apprendre à vivre de leur sueur
Si j’étais à la place des autorités,je ne les recevrai que lorsqu’ils se seraient acquittés de leur devoir de citoyen en payant leur impôt comme il se doit. Aulieu de mettre la pédale douce, ils jouent aux maîtres chanteurs.
sauf qu’un état ça ne fonctionne pas comme ça et cette journée morte est entrain de faire bouger les choses au sommet ; aucun état au monde n’aime la mauvaise publicité même s’il a des fanatiques qui le suivent comme des ânes égarés
Des ânes comme ton père
Ce n’est qu’au Sénégal que des patrons de presse, sentent l’audace de faire des journée sans presse, nous ne voulons pas payer l’impot comme motif. C’est désolant, c’est honteux, bouleversant.
L’âne c’est toi ta mère c’est L’ânesse. Ton père c’est le Zébre
Le chef de l’Etat ne sait pas chanter
Tu n as rien à dire.Vous Avez plongé le pays dans cette situation en entretenant des groupes de presse népotistes et voilà aujourd’hui les fruits.Ces entreprises là, comme tout bon citoyen doivent payer,c est l argent du contribuable sénégalais.Si elles observent aujourd’hui une journée sans presse,c est leurs problèmes.Le chien aboie et la caravane passe.Que les Sénégalais boycottent même les entreprises de presse et leurs journalistes corrompus.
Meme les chiens l ont fermés la caravane peut passée avec ses idioties et ses idiots
Cette situation catastrophe que vit la presse est le fruit du népotisme du régime du Macky dont tu fut premier ministre
Comme vous avez juste grandis au temp de Macky c est pourquoi Lou neke Macky
Le soutien de l’État à toutes les entreprises en proie au fisc, ce n’est rien d’autre que le MORATOIRE, subsidiairement la PUB !
Des entreprises privées naissent et meurent dans le court terme, pendant que d’autres plus résilientes survivent aux risques du marché ! La compétition régule le marché; pourquoi des hordes de journalistes sont sur le marché et leur emploi facilité par l’État ?! Ce n’est pas un bon filon que des écoles de journalisme ouvrent, que de jeunes apprenant attendent un emploi de cette filière ! l’État ne peut soutenir une filière saturée, sous la direction et le joug d’intérêts politiciens, lobbyistes, affairistes au gré des pouvoirs accapareurs. Hélas, ils sont nés et ont évolué sous le néocolonialisme dont on a sonné aujourd’hui la mort irréversible