L’agresseur du Lieutenant Diédhiou est un malade mental

Pris pour agresseur, Saër Mbengue qui avait violemment attaqué le lieutenant Oumar B. Diédhiou, est toujours à l’hôpital, après avoir reçu deux (2) balles de revolver tirées au dos et à la jambe.Mais il se dit que cet assaillant qui a blessé le policier à coups de machette est un malade mental.

Visiteur indésirable

Pour rappel, cet homme qui s’était présenté dans la demeure du policier à l’aube du dimanche 15 août dernier, avec une machette qu’il a utilisée pour vandaliser la voiture de service 4×4 double cabine, avant de ruer sur le lieutenant de police, est toujours en garde-à-vue à la gendarmerie.

Légitime défense

S’en était suivi une rude bagarre, avant que le policier ne le mette à terre par un coup pied fatal, pour ensuite aller chercher un renfort au niveau de la gendarmerie. Mais c’était sans compter avec son bourreau qui l’y rejoint pour lui asséner des coups de machette, le blessant ainsi à la tête, et obligeant le lieutenant Oumar B. Diédhiou à user de son arme de service pour se tirer de ses griffes. Un fait rare et à la limite insolite.

Absence de lucidité

Seulement, les dernières informations relatives aux actes violents de Saër Mbengue perpétrés sur un policier, font état de troubles mentaux dont il souffre, selon Source A, qui barre l’article à sa Une. « Cet homme que tout le monde a vite fait de dépeindre comme un redoutable agresseur, n’en est pas un » renseigne notre source.

Excuse de la folie

Depuis qu’il a commis ce malheureux incident dans la matinée du dimanche dernier, il est gardé en vue dans les locaux de la gendarmerie. Il se dit également que l’homme est bien connu des services du Centre hospitalier national psychiatrique de Thiaroye où il a été interné pendant 3 mois, en 2017, et continue d’y prendre des soins sous la supervision du docteur Ahmed Saloum Diakhaté.