« Ils ne me convaincront pas, à moins que l’Etat m’y oblige. Mais je ne veux pas d’immigrés dans ma commune », a asséné Arturo Cerulli, le maire de Monte Argentario. La tension est palpable pour les immigrés depuis l’assassinant de la fille qui est apparentée au fasciste qui a tiré sur six (6) africains.
Ce qui complique les choses, c’est aussi l’arrivée des élections où les immigrés sont accusés d’être la cause de toutes les difficultés vécues par les italiens.
Converti à l’Islam depuis 1989, il dit ne penser qu’au « bien de sa commune. Je ne suis pas d’accord et pas d’immigrés dans ma commune. Du moins, tant que je serai maire, les immigrés n’y vivront pas ».
A l’en croire, l’Argentario « ne convient pas à ce type d’accueil. Nous sommes dans le tourisme et nous donnons à l’Etat chaque année 06 millions d’euros de contribution. S’ils veulent maintenir ce statut et nous considérer comme riches, ils doivent nous exempter d’avoir certaines situations qui feraient baisser la cible du territoire « .
ls ne me convaincront jamais à moins d’obliger l’État. Mais je ne pense pas. « Dire non réception des migrants forcés est Arturo Cerulli, maire de Monte Argentario. Il est le centre, et en 1989, il se convertit à l’islam. Il, musulman, dit le jour d’être » devant un maire », et de penser au bien de sa communauté.« Je ne suis pas d’accord avec le Sprar et sur mon territoire, du moins tant que je suis maire, les immigrés n’y vivront pas. L’Argentario – explique le maire – ne convient pas à ce type d’accueil: nous vivons dans le tourisme et nous donnons chaque année à l’Etat 6 millions de contributions.